Ta chaleur fait office de foyer..., ... Outline · [ Standard ] · Linear+

[Huron sombrecoeur]

Mon maître, est assis sur un trône de cuivre et d'acier...

Mon maître, viens d'un empire sur la décadence...

Mon maître, à déclenché une rebellion...

Mon maître, n'a plus rien d'humain..




Je suis arrivé en ces temps sombres où il cherchait terre fertile...

J'ai écouté l'avis de chacuns, et je savais que chacuns l'enviaient...

Je serai là aussi longtemps, que ton corps te portera...

J'ai mon âme toute entière qui t'es dévouée...



Mais cela deviens de plus en plus impossible...

Je m'agrippe à toi, j'en fais des cauchemars...

Quand tout semble aller de pire en pire...

Nous sommes deux, usés et fatigués...

Regardant avec désespoir le passé qui nous à choisi...



Toi et moi...

Nous sommes unis, ensemble, maintenant...

nul dieu ne peut nous arrêter maintenant...

Nous bâtirons une nouvelle utopie...

Qui ne servira aucuns dieux impies...



Toi et moi...

Si le monde devait se briser en deux...

Le commençement de ma fin...

Le commençement de ta fin..



Je suis cette petite chose, ce petit plus...

J'ai vendu mon esprit pour mieux te servir...

Je t'aime et je serai toujours là...

Moi ton mignion, ton docile, pour te servir...





« Dans un monde perdu, recourbé, et bien à l'aise, l'animal de compagnie du tyran somnolait à l'abris, sur ces immenses épaulettes, cherchant le reconfort »

[conker]

Rien à redire c'est du Huron. Son style est unique et franchement je ne m'en lasse pas. Meuh non je faillote pas !!!. Bref on est encore immergé dans le récit et les phrases s'enchainent comme par magie. Chapeau t'écrit bien et ça c'est... bien. Aller encore quelques uns comme ça et on écrit un recueil.

[Gyaume83]

C'est, comme dirait Gamma Ray, "The rise of the Damned" ....
Au début, je cherchais bien sur un disciple de khorne (1ère phrase), puis de slaneesh (2ème) puis de Tzeentch (3ème), puis de nurgle (4ème prhase), avant de penser à Abaddon, puis je me suis rendu compte que ça ne tenait pas la route. Ensutie, ce fut le possesseur d'une arme démon, ou d'une grosse relique, d'un truc qui rend dingue...
Et tu viens me briser le mythe avec une hyène de compagnie .......

T'es fort huron, t'es très fort. Et c'est tant mieux, parce que sortir le nez des cours pour tomber sur un tel récit, ça fait ultra plaisir. Juste un reproche : L'ortho, qui est a certains moments limite. (Aucuns dieux ne peux >> ne peuvent).

Guillaume - Y m'énerve y ménerve y m'énerve ... Joe dalton en trépignant sur son sombrero

[Huron sombrecoeur]

Beh en fait je l'ai écris sous open-office et ce con ne m'a pas signalé d'erreurs.
J'en avais ecris une autre avant, mais elle ne m'a pas plus, alors je l'ai effacé et j'ai decidé de changer radicalement de contexte, j'ai encore quelque idées qui fourmille.

Je vais les murir un peu et essayer de les coucher sur open-office.
Je suis content que le style vous plaise. je pense que j'en réecrirai d'autre, mais faut un peu se chercher pour avoir un fil conducteur satisfaisant et assez trompe-l'oeil pour la fin...



Huron - comme une crevette rougit par le soleil -

[Damned]

L'ortho, qui est a certains moments limite.

Tout comme cette phrase qui m'intrigue/déconcerte :
"Mon maître, viens d'un empire sur la décadence..."

Je suis content que le style vous plaise.

Quant à moi je n'adhere pas. Comme quoi, tout les gouts sont dans la nature.
Je n'y trouve pas un enchainement de phrases qui découle d'une seule et même pensée/logique, mais une simple énumération scribistique.

D'autant que sans le vouloir tu me piques l'idée de ce qui devait ou sera mon prochain récit.

En attendant, n'hésite en rien à continuer je pense que tu pourras sans nul doute augmenter tes capacités romanesque à la Once avec le temps et l'experience.
Concentre toi, sur les sens, les émotions, les tristesses voila le peut de conseils que j'aurais à te prodiguer.

Merci à toi,

Damned

[Lucius]

Le fait est que la forme est la meme que tes precedent textes Huron, mais les phrases sont moins choquantes dans celui ci, j'aime bien quand meme, apres tout ce sont les pensees d'un animal.

Toujours tres bon, pas excellent, mais tres bon...

tcho


Lucius- ouaf !