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> Un nouveau général, conséquences de généraux trops fragils
le roi louis
post 08/10/06 , 0:05
Message #1





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Bon j'écris peu et j'arrive rarement au bout de mes projets. Voici un texte que j'avais en projet depuis un moment. Ce n'est pas à proprement parlé un récit guerrier mais plus des conséquences d'une défaites Je n'ai pas situé exactement la ville ou se déroule l'action cela se veut dans L'empire mais pourrait être aussi en Tillé ou Estalie A voir



Le bâtiment était un hôtel particulier situer entre la rue des lavandières et la rue des roses en bref le quartier le plus mal famé de la ville. La façade, complètement défraîchie par l'aire marin provenant du port avait grand besoin d'entretient. Le style très Rococo dénotait de l'ancienne opulence du lieu. L'enseigne « Au palais des plaisirs et du jeu » renseignait parfaitement sur l'activité qui y était pratiquée. Le cavalier s'avançait avec peine dans la rue étroite et boueuses, le pavement ayant depuis longtemps disparut. Les rares passants en cette heure si tardive l'évitaient soigneusement. On distinguait parfaitement malgré l'obscurité qu'il était armé et équiper comme un chevalier. Coiffé d'un heaume une cape bleue nuit descendait depuis ses épaule, masquant une cote de maille que révélait les éclats de métal à la maigre lueur des étoiles. Les replis de sa cape montraient clairement qu'il portait l'épée. L'obscurité empêchait de distinguer le blason de son tabar. Le cavalier s'engageant dans la cour de l'hôtel et mit pied à terre. Aussitôt une des nombreuses servantes recrutées pour leurs formes généreuses et leurs jolis minois s'avança vers lui et tout en saisissant la bride de sa monture lui dit
« Voulez-vous une chambres, de la compagnie?
- Non je ne viens que chercher quelqu'un' » Lui répondit le cavalier d'une voix profonde et fatiguée tout en mettant pied à terre.
Otant son casque il s'avança vers l'entrée. C'était un homme aux cheveux grisonnants le visage marqué par de profondes rides, la peau burinée par une vie entière passée à l'extérieur, les yeux emplis de la lassitude de ceux qui en ont trop vu. En entrent il découvrit sa cape révélant un blason sur la poitrine. C'était un lys couleur rouge sang sur fond d'azur barré d'or.
La pièce était remplie de fumée, l'odeur d'alcool flottait dans l'air. La pièce malgré ses grandes dimensions semblait petite tant s'y entassaient les tables de jeux autours des quelles s'amassaient les joueurs et les filles de joies. Les jurons couvraient la faible musique d'un violon de marin. Si quelqu'un avait à ce moment regarder le nouvel arrivant il aurait put y entrevoir une fugace grimace de dégoût. Le cavalier embrassa du regard la salle, détaillant chaque visage sans mot dire, visiblement à la recherche de quelqu'un. Quand son regard eut fait le tour de la pièce il se dirigea d'un pas résolut vers le bars. Apostrophant l'homme qui se trouvait derrière d'une voie ferme de celui qui a l'habitude de commander
« Toi ! Dit moi ou se trouve celui que l'on nome ici Jean l'Aventurier.
Un des clients attablé au bar se retourne
-Hep ! Tu vois pas qu'il me sert alors at' »
Si les regards pouvaient tuer alors cet homme serait déjà mort. Les yeux du cavalier rencontrèrent un cours instant ceux du soudar attablé au bars et cela avait suffit à le faire taire. Le barman peu rassuré indiqua du doigt l'escalier au fond
« Premier étage deuxième porte à droite »
Il traversa d'un pas rapide le tripot puis monta l'escalier grinçant dont l'état était à l'image du reste du bâtiment, arrivant devant une porte au bois de planche pourri, il frappa deux coups et sans attendre la réponse entra. La pièce était faiblement éclairée par une unique chandelle posée sur une table ronde autour de laquelle quatre hommes tenant des cartes aux valeurs méconnaissable par la crasse qui les recouvraient avec devant eux, sur la table, un amoncellement de pièces de cuivre et de bronze de faible valeur ainsi qu'un cendrier débordant de chique et de cendre, au sol les cadavres de plusieurs bouteilles. Au fond il y avait une porte entrouverte donnant sur une salle plongée dans l'obscurité. Les mines patibulaires et ravagé par l'alcool des quatre joueurs attablés n'avaient rein d'engageant.
Sans rien paraître de ses émotions le nouvel arrivant demanda d'une voie froide et posée
« Où est Jean ? »
Un signe de tête de l'un des joueurs en direction de la porte entrebâillée fut la seule réponse. De son pas toujours aussi pressé le cavalier traversa la chambre et poussa la porte. La pièce qu'il découvrit n'avait pour tout meuble qu'un lit qu'occupaient un homme et une femme. Malgré la pénombre on pouvait voir que l'homme était grand, le corps plutôt bien bâtit d'un adulte mais avec le visage presque tendre d'un enfant, les cheveux en bataille d'un noir de jais et une peau blanche presque pale, pas vraiment beau mais un certain charme avec une ressemblance indubitable avec le vieil homme en armure qui se tenait debout dans l'encadrure de la porte. Sans accorder un regard à la jeune fille maigrelette qui dormait à ses cotés le vieil homme saisit d'un bras vigoureux le jeune homme
« Debout Louis !
- Hum quoi? lui répondit une voie empâtée par l'alcool
- Il faut partir cette endroit n'est pas digne de ton rang !
- Ha c'est toi oncle Henri
- Oui. Ramasses les chiffons qui te servent de vêtement il nous faut partir
- Mais depuis quand mon oncle s'intéresse-t-il à moi le dernier de ses 5 neveux, le moins z?iiiiiiiiiiintéressant, la honte de la famille ?
- Ce n'est pas le moment Louis
-Z?é puis pourquoi que tu m'appelle par mon troisième prénom. Louis c'est le nom de celui de père !
Semblant perdre patience Henri leva la main pour frapper mais se retient et éclata en sanglot
- Il est mort Jean ! Il est mort ! Avec tes quatre frères ils sont tous morts ! Tous ! Les larmes pourtant si rare sur ce visage si dur commençaient à perler. Il continua dans un murmure comme à lui-même "La bataille? Je n'ai rien put faire? Je ne pouvais rien faire... Ils étaient trop nombreux." Puis reprenant son ton autoritaire. Te voila héritier du titre et des biens de notre famille. Montres toi s'en dignes Louis

A suivre ?


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malalakith
post 08/10/06 , 12:11
Message #2





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Oui à suivre!

J'aime bien, c est vraiment engageant. J'ai pas fait attention aux fautes d'orthographes, grammaires et autres, mais c est vraiment pas mon domaine ^^.

Aller, j'attend la suite.


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Hais les nains
Combat le chaos
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Mais surtout hais, combat et massacre les asurs
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Celeborn
post 08/10/06 , 12:55
Message #3



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J'ai bien aimé.

Il y a malheureusement une petite faute de "sur" en "sir" à la fin qui stoppe la lecture.

Un bon texte.

Celeborn


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Le chocolat aux noisettes ou noir est un puissant administrateur de LaCFW, mais ça ne l'empêche cependant pas de se manger lui-même quand il se trouve excellent.

Si tu attends le mois d'octobre pour faire des poissons d'avril, tu attrapes plus de gens.
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Black_Dragon
post 08/10/06 , 16:18
Message #4





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*clap clap clap*
Vraiment bravo, de bonnes descriptions nombreuses qui n'allourdissent en aucun cas le texte.

le récit et agréable à lire.

un seul défaut à mon gout ... il est TROP COURT.

écrit vite la suite smile.gif !

Black_Dragon


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Everything that has a beginning has an end.
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le roi louis
post 12/10/06 , 20:47
Message #5





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QUOTE
J'ai pas fait attention aux fautes d'orthographes, grammaires et autres,

je me suis relue plusieur fois pour y veiller usant et abusant du correcteur d'orthographe mais il semble que j'ai oublier quelques coquilles

QUOTE
Il y a malheureusement une petite faute de "sur" en "sir" à la fin qui stoppe la lecture.

Oups! vu et corrigé

QUOTE
écrit vite la suite smile.gif  !

c'est en cour de réalisation, pour le moment à l'étape "recherche d'idée"

[mode HS on]
je cherche quelqu'un si connaissant en fluff elfe noir pour ecrire quelque chose mêlant humain et druchii et ce serait plutôt long. merci
[mode HS off]


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Vongal Panse d'Erain
post 22/10/06 , 18:51
Message #6





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Wow ! smile.gif
C'est plutôt palpitant
Les descriptions des personnages et de l'ambiance sont excellente.

Une suite j'attend avec impatience sleep.gif


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Un général elfe ne se rend jamais, même à l'évidence.
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le roi louis
post 19/11/06 , 20:12
Message #7





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Enfin Word et une connextion sur un même ordi!
Voici le texte corriger des fautes les plus criantes

Cette partie du récit se veut clairement humoristique. Mais aussi creuser un peu la psychologie de mon (anti)héros
La suite devrait rapidement suivre j'ai l'idée il n'y a plus qu'à développer

La pièce était plongée dans la pénombre, le sol, les murs et le plafond en bois avaient été tant de fois vernis et revernis que même dans l'obscurité total le bois prenait un certain reflet brillant. La pièce avait des dimensions ridicules, un homme aurait eut du mal a s'y tenir debout. Dans l'un des murs un observateur attentif deux couches superposées. Celle du bas accueillait un dormeur enveloppé dans ses draps. A l'extérieur il devait faire jour, le lourd volet fermée de la seul fenêtre aux dimensions congrues diffusais quelque rares traits de lumières à travers les jointures des planches.
Le dormeur bougea et remua dans son lit, les relents d'alcool et les gémissements qu'il laissait échappé laissaient deviner de grosses migraines et une bonne gueule de bois. La porte s'ouvrit en grinçant laissant entré une lourde silhouette, le cliquetis métallique indiquait clairement qu'elle portait une armure. Mais la pénombre empêchait toute identification. Elle s'approcha pesamment de la couchette, se pencha au dessus du dormeur toujours assoupit. Donnât quelques coûts de code pour réveiller son compagnon. Le dormeur retournant avec effort sans ouvrir un oeil, grommela d'une voie pâteuse

-Hum c'est toit mon amour? Quel horrible j'ai fait. Imagine mon oncle Henri, tu sais le vieux chnoque croulant et con comme un ballait dont je t'ai parler. Et bien figures toi que je rêvais qu'il était venu me retrouvé jusqu'à Marienbourg. Et tu sais pourquoi? Pour m'annoncer que tout mes frères et mon père étaient morts et que je devais leur succédés. Non mais c'est pas possible ça avoir 5 frères aînés et pas un seul pour survivre! Alors ce grand con de Henri m'annonce que c'est moi l'héritier du duché. (Le jeune homme s'étire dans sa couchette et se redresse mais a toujours les yeux fermés.) Non mais tu m'imagines moi à commandé ces bouseux perdus dans les principautés frontalières. Te quitter toi et cette bonne ville de Marienbourg Quelle merde! Allez fais un bousou mon amour.
Ce fut une voie lourde et grave qui lui répondit, bien loin de la voie féminine attendue.

- Non vous ne rêver pas mon cher neveu et vous prierais Louis d'user d'un ton moins familier avec moi

- Harg!!! Le cri d'horreur et d'effrois était à la hauteur des désillusions

- Mon oncle! Mais... ( d'un rapide coup d'oeil circulaire le jeune homme observe la pièce) Mais ou somme nous'

- Nous sommes déjà en route, j'ai fait réquisitionné une péniche et nous remontons le fleuves depuis deux jours...

- Non!

A ces mots le jeune homme se leva en en un seul geste, définitivement dégriser se précipitant sur la porte comme pour échapper à ce cauchemar éveillé. Se précipitant sur la porte qu'il ouvrit en grand, il prit d'instinct sur sa gauche vers un escalier montant vers la lumière. Pour déboucher sur le pont d'une péniche remontant péniblement le cour d'un large et paresseux fleuve. Partout à perte de vue la campagne. A sa gauche au loin des montagnes. Au soleil il devait bien être midi dépasser d'une heure. Les hautes murailles de sa chère ville de Marienboug étaient hors de vue depuis bien longtemps.



Pour la suite sans doute un combat.


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le roi louis
post 03/12/06 , 20:08
Message #8





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Bon en relisant le dernier passage je me rends compte avec du recul que ma tentative d'humours est nulle et totalement déplacée
Dans ce texte une longue description de lieu puisse ce que c'est ce que j'arrive encore le mieux à faire. Enfin une scène d'action avec une bonne baston

La péniche était amarrée sur les quais des lavandières. C'était l'un de ces si nombreux villages parsemant tout l'empire, tous si identiques les uns aux autres. Tout y était, les maison miséreuses en torchis ; la place centrale du village occupée par la fontaine et bordée de ses rares maisons de pierres, ancienne demeures des notables, témoins par leur ruine d'un temps aux richesses passées ; il y avait dans le coin de la place la petite chapelle dédiée à Sigmar, sans doute le seul bâtiment un tant soit peu entretenue ; et enfin à la sortie de l'agglomération le vieux cimetière dont les récentes croix de bois côtoyaient d'antiques caveaux de pierre. La seule particularité des lieux était l'auberge, enfin auberge était un bien grand mot pour cette gargote. Cette ancienne battisse aux murs de pierre dont crépi défraîchie avaient connue des jours plus glorieux, était l'ancienne demeure de quelque hobereau de province dont la ligné s'est sans doute éteinte depuis longtemps. On entrait dans le bâtiment en passant sous un porche, celui ci avait gravé dans la pierre un écusson en clef de voûte vestige d'une grandeur et d'une noblesse perdue. Le porche donnait sur une cours rectangulaire ou tout les corps du bâtiment ouvraient. Au fond se trouvaient les écuries, attenant au tas d'ordures. Le mot porcherie y aurait mieux convenu, l'odeur de vieux crottin indiquait clairement que le foin y pourrissait depuis une date indéterminée mais au combien reculé. L'aile ouest à la gauche en rentrant servait de cuisine et de demeures au patron et ses domestiques, l'aile est devait accueillir les convives, le rez-de-chaussée, débarrassé de ses cloisons, servait de grande salle, l'étage pour les chambres. De jours le voyageur y aurait observé dans la cours une faune composée de volailles et de cochons y déambulant librement.
La grande misère dans laquelle se trouvaient ce plat pays explique peut être la créations des cousteliers. C'est par ce nom que l'on nome dans ces contrées ces bandes de brigands, malandrins et autres gibiers de potences. L'une de ces bandes justement se trouvait dans l'auberge. Elle y avait là ses habitudes, venant y dépenser les fruits de leurs rapines en alcool et en femme. Ce qui n'était pas pour déplaire au patron des lieux, trop heureux de ne pas se faire rançonner et en plus de remplir ses bouses. Pour lui vingt malfrats qui payent sont des clients avant tout ; de plus la prime pour leurs têtes n'équivaudrait pas le manque à gagner si il les dénonçait. Tout aurait été pour le mieux dans le meilleur des mondes si deux voyageur ne si étaient arrêtés.
Actuellement cette la cour était occupée en son centre par deux hommes dos à dos. Ces deux ce sont ces fameux voyageurs et tu les connais lecteur. Le premier est le veille Henri portant toujours sa longue cape bleue et de sa cote de maille, Le fourreau à sa ceinture était vide, son épée se trouvait fermement tenue dans sa main droite, la gauche empoignant tout aussi fermement son écus. Le deuxième homme était le jeune Louis, ses vêtements bouffants débordaient de rubans de soie noués avec science, Cette tenue attirait tant de compliment dans les réceptions huppées et mondaines. A sa ceinture une longue rapière au fourreau finement travaillé de dorures d'or et d'argent martelée. Dans chacune de ses mains il tenait l'un de ces pistoles de duel si modernes, celui de sa main gauche était tous sculpté tel un dragon de fer et de bois dont les entrelacs de la queue constituerait le poigné et la cachette tandis que la gueule de la bête fantastique se confondrait avec celle de l'armes, les plissures des ailes constituant un mécanisme complexe de mise à feu.
Autour des deux hommes une foule d'une dizaine d'hommes faisaient cercle à une distance respectueuse. Malgré l'obscurité on devinait leurs mines patibulaires, tous armées qui d'un épieux qui d'une cognée qui d'un gourdin ou d'une machette. Les vêtements crasseux et l'odeur de sueur n'enlevaient rien à leur charme. L'espace vide entre la foule et le duo était parsemé de plusieurs cadavres.

C'est dans ce contexte tendus que nos deux héros s'échangèrent sur le ton polie de la conversation ces quelques mots

- Rappelez moi mon oncles comment nous en sommes arrivez là ?
- Il me semble mon Prince que vous avez voulut vous sustentez ici. La nourriture du bords ne vous convenant pas. Encore l'un de vos regrettables caprices
- Oui certes, c'était un caprice. Mais si vous n'aviez pas faits montres d'un tel mépris pour ces gens nous n'en serions pas là
- Ce ne sont que des gueux Sir, ils vous manquaient de respects par leur moquerie. Que mon prince souhaite un repas dans cette gargote, c'est acceptable, mais qu'en plus vous jouiez avec eux aux cartes.
- Il faut bien que je trouve des joueurs puisque vous vous y refusiez. De toute façon vous ne savez pas bluffer.
- Mais, ils trichaient !
- Voyons mon veille oncle cela fait partis des règles ! Moi aussi je trichais

A ces mots la foule des brigands ni tient plus, dans un hurlement de rage, ils se bousculèrent à l'asseau. Deux déflagrations retentirent aussitôt. Deux des malandrins tombèrent à terre, l'un le crâne fracassé d'une balle, l'autre se tortillant de douleur, les tripes farcies de chevrotine. Pour Louis tous se passe au ralentis, les sons deviennent inaudibles, plus de cris, plus de chocs des armes, Tout n'est qu'un murmure lointain. Louis a déjà laissé tomber au sol l'arme qu'il tenait de sa main droite, dégainant sa rapière. Sur le pistolet tenu dans sa main gauche, un ingénieux mécanisme de rouage et de ressors fait pivoté un petit barillet dissimulé dans les ailes du dragon face à la mise à feux. Un troisième adversaire avance déjà. Les gestes, si longuement répéter avec le maître d'arme dans l'enfance, reviennent par automatisme. Passe, feinte, pas de coté, puis touche, mais cette fois si ce n'était plus un exercice, là ou il y avait un c'ur dessiner sur les vêtements rembourrés pour l'entraînement il y a maintenant une tache sombre qui grossie. L'adversaire ne salue pas, il blêmit puis il s'écroule. Déjà un autre le remplace. Il tend le bras gauche. Appuyer sur la gâchette. Une nouvelle détonation résonne dans cette cours accompagnée par le bruit des ressors du barillet qui pivote encore une fois. La mâchoire qui explose à bout portant. Les vêtements qui se tachent de ce sang si rouge. Il n'attend pas que le corps tombe. Pas chassés. Tendre le bras vers l'adversaire. Louis sent sa lame qui s'enfonce dans la chaire d'un torse. Il sent cette lame riper sur l'os des côtes puis s'enfoncer. Voir sur ce visage un cri de douleur et une grimace mais pas l'entendre. Ressentir soudain la douleur à l'épaule. Le tissu qui se déchire. Les rubans de soie qui tombent au sol. Se retourné en un volte face. Appuyer sur la gâchette. Percevoir dans le lointain le cliquetis du barillet vide. Voir cette lame se lever, une hache, l'une de ces cogné de bûcheron. Lever sa rapière pour parer. Mais Louis sait qu'il est trop tard, qu'il n'aura pas le temps. Que son épaule droite lui fait mal. Que le sang chaud coule sous ses vêtements de luxe. Attendre que l'arme s'abaisse, que la fin vienne. Mais non le coup ne vient pas de l'ennemi mais de derrière lui. Un coup qui transperce cet homme. La pointe d'une épée. Puis la voie d'Henri visiblement essoufflé. Son tabar est taché de sang, l'écu lacéré de coup. Le temps, les sons, les couleurs, tout redevient comme avant. Il fait si sombre. La douleur à l'épaule si insoutenable. L'inconscience.
Il y avait ce soir là à ce moment là dans cette cours 13 hommes, onze cadavres et deux vivants. N'en restera t il qu'un ?

Fin ?


J'ai eu du mal a conclure : une inspiration qui s'essouffle.

Pour le premier combat que j'écris donc vos avis sur celui ci afin de préparer les suivants sont les bien venus

Le texte précédent était il si mauvais ?


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Belannaer
post 03/12/06 , 21:51
Message #9


Chicaneur Double-Face
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Bien bien bien.

Je vais être moins élogieux que les autres. Peut-être parce que je suis plus maniaque. Désolé de te dire ça, mais le nombre vraiment excessif de fautes jette un voile sur un texte sinon bien tourné. Le présent de narration c'est bien, mais avec aussi la concordance des temps c'est mieux. Et les virgules, il en faut plus !

QUOTE
et en plus de remplir ses bouses

smile.gif Ses bourses plutôt, non ?

Sinon ce texte est bien. L'histoire n'est pas hyper originale, mais c'est bien raconté, les descriptions sont de qualité. Sans les fautes ce serait un réel plaisir à lire. Le combat final est je pense un très bon passage.

Non, la deuxième partie n'est pas mauvaise, mais peut-être effectivement un peu déplacée. Dans le sens que c'est un peu trop... un peu "trop" tout court en fait.

Si tu veux t'améliorer, il faut donc penser avant tout à l'orthographe, le reste est plus qu'honorable !

Belannaer


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"Les dieux sourient aux armées ayant l'infanterie la plus disciplinée, la cavalerie la plus rapide, les archers les plus précis et les meilleurs généraux." Annuriel de Cothique
"Ne fais jamais ce que tu ne peux défaire avant d'avoir réfléchi à ce que tu ne pourras plus faire une fois que tu l'auras fait." Subtil, Roi des Six-Duchés
"On pardonne plus facilement aux autres d'avoir eu tort que d'avoir eu raison." Albus Dumbledore
"Qu'est-ce, en effet, que craindre la mort, citoyens, sinon se prétendre en possession d'un savoir que l'on n'a point ?" Socrate
"La guerre, qui était cruelle et glorieuse, est devenue cruelle et sordide." Winston Churchill
"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas les faire, c'est parce que nous n'osons pas les faire qu'elles sont difficiles." Sénèque
"Joueurs de tous horizons, viendez découvrir un monde fraternel où des joueurs viennent depuis des destinations lointaines et plus ou moins ensoleillées (Bamako, Belfast, Viroflay...) pour disputer des parties démesurées, découvrir de nouveaux jeux grâce à l'aide d'un maître en la matière, et d'autres divertissements aussi intense que nombreux!" Doomsword, Grand-Croix de l'Ordre du Sarcasme
"Les quatre éléments du Nain : Terre, Pierre, Fer,... Bière." Moua-mêême
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Gaara du désert
post 23/12/06 , 14:27
Message #10





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Très bonne histoire à part les fautes d'orthographe (moi j'en fait plus).

QUOTE
J'ai pas fait attention aux fautes d'orthographes, grammaires et autres, mais c est vraiment pas mon domaine


Comme d'hab, la phrase habituel.
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