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Bon j'ai tapé ca en a peine, 1 heure je vous demanderai donc un peu de gentillesse quant aux certainement nombreuses erreurs de ce texte. C'est le premiere que j'ecris ou du moins ou j'arrive a aller au bout. Je vous en fait part donc afin de savoir ce que je pourrais ameliorer et aussi savoir ce que vous pensez du texte en général. Ya sans doute des erreurs de fluff et j'aimerai que vous maidiez et les corriger. Merci d'avance.
Mon Seigneur, me voici de retour. Les hommes que vous m'aviez confié pour éradiquer cette nouvelle menace, ces bêtes qui souillent nos terres, ont tous péri. Nous pensions que ces créatures n'étaient qu'une poignée? Et d'après ce que j'ai vu, il est fort probable qu'elles n'étaient guère plus nombreuse quand nous avons commencé la battue. Mais ceci était sans compter cette être infâme à leur tête qui réussit avec un facilité déconcertante a réunir les autres hardes voisines. Aussi quand nous avons finalement trouvé l'ennemi, c'est nous qui sommes devenu leur proie.
Nous trouvâmes après de longs jours de chasse leur autel rupestre en plein milieu de la foret de la drakwald. Vingt êtres, mi-homme mi-bête, gardaient ce lieu sinistre. Mais malgré nos quarante chevaliers en armure, elles ne semblaient pas effrayés. Nous prenions ça pour de la stupidité?. Quelle erreur ! Nous chargeâmes pour en finir avec les saccages de plus en plus fréquent dans nos contrées. C'est alors que nous entendîmes un cor de chasse sonner. C'est ainsi que le cauchemar commença.
Ils arrivaient de toutes parts, ces monstres beaucoup plus large qu'un homme, les armes levés en hurlant toute leur rage bestiale. Nous fumes vite submergés mais nos hommes tenaient bon, ces fidèles de Sigmar étaient vraiment valeureux. Plusieurs de ces preux chevaliers tombèrent néanmoins. De mon coté j'avais fauché cinq ou six des ces abominations. Mais un cri me fit arrêter toute man'uvre, un hurlement si rauque et si puissant qu'il me glaça le sang. A l'arrière de nos rangs, trois immenses créatures à tête de taureau massacra mes frères d'armes en les écrasants tout bonnement de leurs armes gargantuesque. Des chiens énormes arrivaient en se ruant par derrière et l'un d'eux sauta à la gorge de mon musicien, hurlant dans son sang en tentant vainement de se débattre. Une de ses créatures plus petite que les autres profitant de mon inattention me rentra sa lance dans l'abdomen, je cru faillir mais je ne pouvais pas mourir, pas maintenant. Saisissant mon épée je raccourci mon assaillant d'un revers. Nous n'étions plus que deux. Moi et Mannfred le porteur de bannière qui hurlait de terreur et tenta de fuir a travers les rangs ennemis. Je cru voir ma fin. Mannfred mourut par la lame d'une bête, qui d'un bon coupa l'élan du cheval et trancha ce couard en deux. C'était visiblement un des chefs de cette? meute. Je fut pris au col par un autre de ces chefs, il me jeta à terre et me désarma.
D'une voix profonde et maladroite il me dit : « Tu ne mourras pas aujourd'hui humain. Le seigneur a d'autre projet pour toi. » Je ne pouvais m'imaginer quels desseins m'était réserver. Traîné dans la boue par les cheveux par cette créature abjecte, tout en me vidant de mon sang, je vis ce qui restait de mes amis se faire dévorer par les forces victorieuses. Elle m'amena jusqu'à une grotte ou je rencontra la chose la plus étrange que je vis dans tout ma vie. Alors que des esclaves soignaient mes plaies je pu voir dans les yeux de mon ôte l'espace tout entier se refléter. Elle n'avait strictement rien a voir avec ces barbares, cette créature respirait la connaissance. Il est bien peu de monstres qui méritent la peur que nous en avons. Mais cette bête me terrifia. De toute sa hauteur et de son arrogance elle me dit : « Ainsi vous pensiez pouvoir nous anéantir ? ». « Pourquoi suis-je encore en vie ? » lui retorquais-je. « Comment voulez vous que votre peuple sache a quoi s'en tenir si personne ne le lui dit' Tu vis car je veux que ton peuple sache que mon armée avance dans la direction de votre cité. »
Je fut pris de panique, et si c'était vrai ? Et si il pouvait réellement raser notre glorieuse cité. Je me sentais comme impuissant, incapable de pouvoir penser à autre chose. J'avais oublié que la demeure de l'empereur était imprenable. Reprenant avec difficulté mes esprits, la bête ajouta « la Gloire veut qu'on ose ou le péril est grand. » Et me coupa toute repartie. Comment pouvait il deviner ce que j'allais dire ? « Le savoir sans le savoir c'est ce qu'on appel l'instinct ». Cette atrocité lisait dans mon esprit comme dans un livre ouvert ?
Apres trois jours durant lesquels je me remis tant bien que mal de mes blessures, je vis des groupes de ces hommes-bêtes arriver par dizaines, souhaitant rejoindre cette armée pour détruire le monde des hommes. Le chef qui me traîna de force jusqu'à mon lieu de repos, m'amena ma monture et m'ordonna de partir sur le champs. Ce que je fis prestement afin de vous avertir du grand péril qui s'approche, ma Seigneurie. Les bêtes se sont de nouveau réunis et menace nos femmes et nos enfants. Faites dépêcher tous les renforts des cités environnantes afin qu'on l'on puisse renvoyer ces monstres d'où ils viennent.
« Ce sera fait ?»
Mais dans la foret le seigneur des Bêtes avait d'autres projets: il fit bifurquer son armée, se dirigeant vers les villes éloignées de Middenheim. Privés des renforts qu'elles enverront à la capitale, ces cités seront bien plus facile à prendre, se dit il.
ps: Je sais que ca parait un peu gros. Mais j'imagine en fait le seigneur des betes faire avoir des hallucinations a l'humain en lui faisant voir des centaines voir des milliers de betes grossir les rangs de l'armée bestiale. Afin qu'il puisse reelement croire que middenheim est en danger. Ce qui permettrait a la harde plus modeste que ce que l'humain croit d'assieger avec plus de facilité les villes avoisinantes susceptibles d'envoyer de l'aide a middenheim...
Edit: Merci a Témus pour ses conseils avisé de syntaxe et d'orthographe... y'a vraiment des fois ou on se rend pas compt de ce qu'on ecrit.
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Ecoutez-moi messire, essai HB/empire.
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19/09/06 , 0:28
