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> La Mort, Un petit récit...
Bloody
post 02/02/05 , 13:56
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La Mort

Introduction

L'homme court, il a peur, peur du destin, il fuit devant l'inévitable, tourne par une sombre ruelle.
Dans la nuit noir, il peut espérer se cacher, mais nul ne peut échapper à son destin.
Il espère que sa peur ne la pas vue tourner, car dans la nuit noir, il peut espérer se cacher
Un mur lui bloque la route, mais il entreprend de l'escalader
Dans la nuit noir, il peut espérer se cacher, mais ou qu'il aille, sa peur le rattrapera.
Il court sur les toits, la nuit est noire, la lune est masquée par les nuages
Dans la nuit noir, il peut espérer se cacher, mais il ne fait que retarder l'inévitable
Il se croit hors de danger, et descend dans une sinistre ruelle, mais, lorsqu'il se retourne, la lumière de la lune traverse les nuages, et il aperçoit, la silhouette de son destin. Ce dernier s'approche. Un bref mouvement, et l'homme s'écroule.
Il est mort par la folie des hommes, et son tueur affûte ses lames. Peu de gens iront le pleuré, dans ce monde, seul les plus forts survivent.

Chapitre 1

Araska, an 412 de l'empire de Var-fist

Dans une auberge mal famée de la ville d'Araska.
« _J'ai rempli ma part du contrat, à toi de remplir la tienne.
_Je te remercie de m'avoir débarrasser de ce misérable, maintenant, je suis seul maître de la plus grosse société de Var-fist. Mais actuellement, je ne peux pas te payer, je te donnerai l'argent demain.
_Tu me prends pour un con ? Demain, tu ne viendras pas, et tu t'arrangeras pour que je disparaisse, mais ça ne marche pas avec moi.
_Du calme, je te donnerai l'agent demain.
_Tu penses vraiment que je vais tomber dans le panneau ? Tu n'es qu'un misérable, tu ne mérites que la mort ! Tu es un faible !
_Je suis l'un des hommes les plus puissant de l'Empire de Var-fist ! Tu payeras pour ton insolence !
_Mais qui va te protéger maintenant ?
_Quoi ? Bredouilla l'homme, d'accord, voilà ton argent.
_Tu vas crever. Je vais te tuer ! Dans ce monde, seul les plus forts survivent ! Tu n'e pas de cela !
_Mais' mais' »
Un bref mouvement, et l'homme s'effondre.

Un homme assez jeune s'approcha alors du cadavre, puis s'adressa au tueur :
« _Incroyable, c'est l'un des hommes les plus forts de Var-fist, t'es vraiment incroyable mec ! Je m'appelle Naras, et je pourrais avoir besoin de ton aide.
_Je sais ce que tu veux de moi, mais ma réponse est négative. Néanmoins, si tu le veux bien, je pourrai t'apprendre quelque truc, rendez vous à la ville abandonner. »
Puis, il partit, et Naras se dit que cet homme pourrait lui apprendre quelque technique de combat. Bien sur, il pourrait avoir prévenu les hommes de l'empire, pour touchez la récompense pour aide dans la capture d'un membre de la résistance. Cet homme était de plus très étrange, entièrement recouvert d'une longue cape grise, son visage n'était pas apparent, cacher par un capuchon de même couleur. Il fut interrompu par des coups de feu venant de la place?

Aussitôt, Naras s'élança, mais, lorsqu'il arriva, il vit des hommes étendus à terre, raide mort, il vit, au centre de la place, l'homme de ce matin (si s'en était un) aiguisant ses deux dagues. « Bizarre, se dit il, Cet homme n'utilise aucune arme a feu. Mais qui est ce type ? » Il s'approcha, et demanda :
« _J'aurai des question a te poser : Pourquoi ne veut tu pas nous rejoindre ?
_Votre quête est une utopie, vous n'arriverez jamais à stopper la guerre qui ravage Nariska depuis près de 600 ans. Les guerres ne sont pas prêtes de s'arrêter.
_Comment peut tu dire ça ? S'étonna Naras.
_Je dit la vérité. Mais, quelles sont les autres questions que tu avais à me poser ?
_Si tu ne veux pas nous rejoindre, pourquoi veux tu m'aider ?
_J'ai fait une promesse à un ami.
_Qui ?
_Je ne le connaît pas personnellement, et il ne tiens pas à ce que je te dise sont nom. »
Aussitôt, l'homme dégaina, et mit une de ses dagues sous la gorge de Naras.
« _Quoi ? Fit ce dernier.
_Es tu prêt à mourir pour ta cause ? Es tu près à quitter ce monde fièrement, sans la moindre peur ? Je pense que tu es près à mourir pour ta cause, bien que ça ne soit plutôt qu'un sacrifice inutile. Mais je lis beaucoup de peur dans tes yeux. De plus, tu es trop lent pour pouvoir combattre face à un adversaire plus vif que toi, tu n'as aucune chance. Pour être un véritable combattant, tu dois être capable de mourir fièrement, sans aucune peur. Tu dois également être plus vif que ton adversaire. » Puis, en rengainant son arme, il continua : « Si je n'avais pas retenu mon attaque, tu serai mort. Adieu. »
Avant que Naras n'est pu répondre, l'homme disparu dans les ruelles de la ville abandonner

BK

Le début du chapitre 1...

Ce message a été modifié par Bloody - 04/02/05 , 21:09.
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Bloody
post 01/03/05 , 21:38
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Peu de temps après, Naras fut chargé de trouvé cet homme. Ce tueur était nommé « Mort », et était le plus puissant et le plus fiable de tout les mercenaires de Var-fist. Malgré tout, il avait choisis de ne pas s'impliquer dans la guerre civile qui affaiblissait l'état encore plus que les guerres incessantes. Il travaillait parfois pour l'Empire, parfois pour la résistance, mais ce n'était jamais dans le cas des batailles entre les deux camps. Les dirigeants de la résistance avaient ordonnés à Naras de convaincre ce tueur de rejoindre la résistance, par la force si nécessaire. Si Mort refusait, le résistant devra le tuer. Il errait dans la ville abandonnée, ne trouvant personne. C'était l'ancienne ville d'Araska, qui datait de l'époque du royaume de Var-fist. Elle avait accueillit une base de la résistance à l'époque. Une époque où certaines personnes utilisaient une force destructive appelé magie. Parmi ceux la, de puissant mage ayant des aptitude considérable pour le combat au corps a corps comme pour la magie existait. Les créateurs de la résistance était de ces gens la, des guerriers-mages. Ils utilisait de puissant pouvoir élémentaires : L'eau, l'air, le feu, la terre, l'énergie positive et l'énergie négative.

Naras fut interrompu dans ses pensées par le bruit d'un homme qui courrait. 2 hommes plutôt. L'un d'eux poursuivait l'autre. Il entendit des bruits combats ; mais pas de coup de feu, il s'agissait d'épée qui se frappait. En tout cas, de lames en fers. Cela l'intrigua, et il se mit à courir. Il arriva à une place. Les maisons en ruines formaient un large cercle. Elles mesuraient de 4 à 6 mètres. Il y a 600 ans, c'étaient des maisons de nobles, richement décorées. Au centre de la place, il y avait un homme debout, tenant deux dagues d'environ 30 centimètres dans ses mains. Il était revêtu d'une grande cape noire, et un capuchon masquait son visage. Sur ses lames, Naras pu apercevoir, -en s'approchant- qu'elles étaient pleine de sang. Le résistant reconnu Mort. A ses pieds, il pouvait voir une autre personne, elle était immobile, gisant sur le sol. A coté, une épée se tenait la, allonger. Il semblait mort -et il l'était.

Mort s'adressa a Naras, tout en rengainant ses lames.
« _Tu es venus pour me convaincre de rejoindre la résistance, c'est ça ? De toute façon, même en utilisant la force, tu ne parviendras pas à le faire changer d'avis. Crois tu que les méthodes de vos dirigeants valent mieux que celles de l'Empereurs. D'ailleurs, quatre-vingts-quinze pour cent des membres de votre organisation n'y voit qu'un moyen de prendre le pouvoir. Si ils y parvenaient, le régime ainsi créer serait pire que tout ce qui a été connus. Ils ne pensent qu'à eux. L'empereur mène peut être des guerres incessantes, mais ainsi il protège le royaume. Maintenant, il s'occupe de son image ?depuis un putsch de votre organisation qui a failli réussir- et donc, le peuple est mieux traité.
_Comment peut tu dire ça !
_Depuis quand ne peut on pas dire la vérité ? De toute façon, tu sais que je dis vrai, mais tu ne veux pas le croire, au fond de toi, tu veux que ce soit faux, car cela voudrait dire que tu aurais combattu pour des personnes maléfiques. Car je vois dans ton regard un grand sens de la justice. Je lit dans ton regard que tu veux amélioré la vie dans ce monde. Mais j'y ressens également beaucoup de peur, car tu as peur de la mort. Si tu n'est pas capable de la dominer, tu ne pourras jamais me battre, et si tu ne réussis pas a en faire une force et une source de courage ?en un mot, si tu n'arrête pas de craindre la mort-, tu ne pourras pas renversé l'Empire. Car parmi les généraux de celui que tu combats, l'un d'eux est plus terrible que moi. Mais de toute façon, tu n'abandonneras pas, tu combattras. Alors, puisque tu y tiens, je vais te combattre, et tu ne sortiras pas vivant de cette bataille. Mais je sens un courage exemplaire et un grand potentiel, alors, je vais te faire l'honneur de te montrer une partie de tout mon art du combat. »

Il sortit une longue épée, dont la lame ondulait comme des flammes. Naras, quand a lui, sortit son pistolet, et tira plusieurs fois. Etrangement, aucun coup de feu ne retentit, et aucune balle ne partit. Il n'eut pas le temps de réfléchir a ce miracle que mort était déjà sur lui, le propulsa en arrière par un puissant coup de pied qui par la même occasion, fit lâcher a Naras son pistolet, et trancha en deux l'arme de ce dernier. Il s'élança sur son adversaire, qui esquivait ses coups avec le plus grand mal. Le jeunes hommes roula au sol et s'empara de l'épée du malheureux tuer par mort avant qu'il n'arrive. Il la pris, et se prépara a combattre.


Bon, la suite du chapitre 1. Donné votre avis que je puisse m'améliorer.
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Bloody
post 22/03/05 , 21:06
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Il se jeta sur son adversaire et abattit d'un coup violent son arme. Mort para l'attaque sans problèmes, et riposta alors, frappant plusieurs coup avec une puissance et une vitesse prodigieuse. Son adversaire eu beaucoup de mal a contenir l'assaut ininterrompu de Mort, et il n'évita que de justesse plusieurs coup qui aurait pu être fatale. Le tueur attaquait sans relâche, et aucune faiblesse n'apparaissait dans sa garde. Plusieurs coups blessèrent le jeune résistant. Il ne devait pas avoir plus de vingt ans, mais combattait avec courage. Il assénait des coups violents à son ennemi, mais ce dernier esquivait et ripostait avec une rapidité époustouflante.

Le combat ne dura pas : Mort, d'un violent coup de pied, envoya son adversaire au sol. Ce dernier, se relevant avec grand mal, ne pouvant supporter les graves blessures qu'il avait subi, se releva difficilement. Sa vision se troublait, il avait perdu une grande quantité de sang. Il vit que mort avait rangé son épée. Il ne se posa pas de questions, il se jeta sur son adversaire, l'épée en main, rugissant un cri de rage? qui se transforma peu de temps après en un cri de douleur. Un flot de flamme s'abattit sur lui, et il n'eut le temps que de se protéger son visage de ses bras, dans un instinct de conservation. Il savait qu'il allait mourir. Il le savait depuis qu'il avait engagé le combat avec Mort. Il savait qu'il allait mourir, il le savait depuis qu'il avait engagé le combat contre le tueur.

Il ne mourut pas sur le coup, il se releva, il voulait savoir quelque chose. Mais, avant qu'il n'ai ouvert la bouche, Mort s'avança, tout en sortant l'une de ses dagues et en disant :
« Non, ne parle pas. Je ne veux pas que tu souffre, je ne sais pas pourquoi, mais je dois t'achever sans souffrance de ta part. »
Naras n'eut pas la force de parler. Il allait mourir, mais, c'était ce que le destin avait décidé, non ? De toute façon, il serai mort un jour, a 19 ans ou a 60 ans, quelle différence ? De toute façon, il mourrait. Il ne laisserai personne derrière lui, sauf, sauf sa jeune s'ur, membre de la résistance également, qui avait elle aussi le sens de la justice, et sui, il devait bien l'avouer maintenant, combattait bien mieux que lui avec des armes blanches. A cette pensée, une larme perla sur sa joue, mais, lorsque Mort lui planta sa dague dans le c'ur, il souriait. Souhaitant pour le monde qu'il allait quitté connaisse la paix. Sur son visage, a moitié calciné, ses yeux se fermèrent. Il s'effondra alors sur le sol.

Mort en avait fini avec ce combat, mais quelque chose le tourmentait. Il rangea ses dagues, et se tordit sous une vive douleur, au plus profond de son esprit. Ses mains sur son visage, il dit alors, avec la voix d'une personne à l'agonie.
« Qui est tu, toi qui ose s'imposé dans mon esprit. Dans l'esprit d'un guerrier mystique ! »
Il n'avait pas remarqué que son capuchon fût tombé. Son visage était celui d'un homme de trente ans, mais de nombreuses cicatrices le parcouraient, ses traits étaient dur, et il semblait avoir côtoyer la mort pendant le tiers de son existence ?Ce qui était vrai.


A suivre... :D

Bon, Vous allez donnez votre avis oui ou m****! :D

BK
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