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In Extremis, Encore une toute ch'tite histoire
Gyaume83 |
18/05/04 , 18:57
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Pilote d'ornithoptère
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Au sommet d'une colline surplombant la vallée, à une trentaine de kilomètre de la centrale à fusion Nucléaire, une chimère s'arrêta. La rampe arrière s'ouvrit, et deux hommes en sortirent. Ils déployèrent un filet qu'ils posèrent sur la chimère, puis déployèrent deux tubes qu'ils plantèrent dans le sol. Une fois ceci fait, l'un des deux sortir une table de la chimère, tandis que l'autre démarra un groupe électrogène. Une fois la table mise en place, les deux hommes sortirent du matériel informatique, qu'ils relièrent au courrant et à un radar sur le toit de la chimère. « Mon colonel, tous est prêt, annonça l'un d'eux. » L'homme en question sortit et s'assis sur une chaise. Un deuxième gradé vint le rejoindre. Un troisième garde sortit et rejoint les deux autres. Ils se mirent à scruter les environs avec des jumelles.
Les coursives du système d'évacuation étaient très étroites, et les soldats de choc avaient la plus grande peine à hisser rapidement à travers les sas, échelles et autres portes. Il leur restait peu de temps avant que les charges ne déstabilisent les 6 réacteurs et ne fasse exploser la centrale. Mais l'un d'eux avait été blessé par une sentinelle, que le groupe avait neutralisé sans donner l'alerte pour autant. Par un bandage rudimentaire, le sergent avait réussi a faire stopper l'hémorragie. Mais ces hommes n'avaient entraînés dans les troupes de choc pour rien, et ce lot de soucis faisait parti de leur quotidien. D'après leur digi-plan, la sortie n'était plus loin.
Dehors, les gardes impériaux rebelles avaient préparés barricades et barrages pour couper leur retraite. Mais les troupes de choc furent assez intelligents pour sortir la ù on ne les attendait pas. Deux hommes sortirent d'un petit bâtiment préfabriqué. Ils posèrent un genou au sol, épaulèrent leur fusil radiant laser et scrutèrent les alentours. Voyant que le secteur était sans danger, ils firent signe aux autres. Il déboulèrent du bâtiment et coururent se mettre à l'abri. Personne ne les avait repérés. Prudemment, lentement, ils se dirigèrent vers un hangar. L'escouade disparut derrière des bosquets puis deux hommes se relevèrent et coururent vers le hangar, à une trentaine de mètre. Toujours personne à l'horizon. Les communicateurs grésillèrent avant d'annoncer : « Charges en place. Repli vers le oints d'extraction ».
Le lieutenant regardait les moniteurs. Il appela tout d'un coup le colonel. « Je reçois les signaux des charges de diversion. Ils se dirigent vers E-1. _Envoyez la Valkyrie et les deux vultures pour les couvrir. Comment se portent ils ? _Aucun mort, seulement un blessé léger. Aucun signe d'alerte dans les rangs ennemis. _Bien. » Le colonel sortit ses jumelles et observa le hangar. Il observa attentivement jusqu'à qu'enfin il perçoive une boule de feu ravager un bâtiment. Tournant la tête, il vit les appareils de la marine impériale raser le sol au bas de la colline.
La panique se répandit dans les baraquements. Où étaient ils ? D'où provenait l'explosion ? Toutes ces questions déstabilisaient les gardes qui allaient et courraient dans tous les sens. Les troupes de choc profitèrent de ce désordre pour traverser un no man's land qui les séparaient du point d'extraction, derrière les hangars des véhicules de service. Durant leurs courses, ils lâchèrent quelques tirs qui se révélèrent particulièrement précis et mortels contre les renégats. L'escouade se réfugia derrière un muret pour faire le point : aucune victime, le blessé assisté par deux camarades. Les fantassins de choc tiraient, protégés par le muret, jusqu'à ce que des tirs de mitrailleuse lourde les obligent à se coucher. Le sergent risqua sa tête au dehors et vit un énorme Leman Russ qui pointait son obusier dans leur direction. Sentant la mort proche, le sergent adressa une courte prière à l'Empereur. Il entendit soudain un sifflement, puis une explosion gigantesque. Il releva la tête hors du muret, imité par quelques autres fantassins, et ils virent le char éventré, en flamme, recracher des panaches immenses de fumée noire. Un autre sifflement se fit entendre, plus caractéristique. Le sergent donna l'ordre d'avancer derrière les hangars. Ils virent le vaisseau aller et venir en tirant avec ses multi lasers au sol. Le blessé fut embarqué en premier, puis les hommes montèrent. Le sergent s'assurait dans sa course qu'aucun homme ne soit resté en arrière quand il fut touché par un tir à l'épaule et s'effondra.
Dans le ciel, les vultures tournoyaient tels des oiseaux de proies, en tuant plus de gardes à chaque passage de leurs lance-roquettes et autocanons. Le caporal des troupes de choc vit le sergent s'effondrer et courra voir la pilote. « Faut bouger, lui dit ce dernier. _Je vais chercher le sergent. Il est à 20 mètres. _C'est trop dangereux, ils ont appeler des renforts. _J'en ai pour une minute. Une petite minute _T'as trente secondes avant qu'on soit en retard. » Le caporal était déjà partit. Il courut en tirant à l'aveuglette de son fusil radiant laser. Arrivant près du sergent, il vit une escouade entière qui lui fonçait dessus, à une trentaine de mètre. Le caporal plongea pour se retrouver couché a coté du sergent, inconscient mais encore vivant. Le pilote de la valkyrie poussa les moteurs, décolla à peine et pivota sur place pour mitrailler derrière les deux hommes.
« Mince alors Colonel, on dirait que le sergent ne bouge plus. Son détecteur est immobile depuis une minute vingt-sept. _Qu'ils s'en aillent. Les renforts ennemis vont arriver. _Mais ! Le caporal est allé chercher le sergent. La valkyrie décolle. Non elle reste sur place. Le caporal ramène le sergent. Ca y est, ils y sont. _Je les vois. La mission est un franc succès. Donnez leur rendez-vous au poste avancé. Nous partons. »
Le caporal se hissa en dernier, après avoir fait embarquer le sergent, alors que la valkyrie avait déjà quitté le sol. Derrière eux, les vultures firent un dernier passage en larguant les réservoirs auxiliaires puis tirèrent dessus. Les explosions touchèrent une réserve de carburant qui explosa à son tour. Les panaches de fumée noire couvrirent leur retraite. Ils rejoignirent la valkyrie et se placèrent en formation de protection.
Guillaume - Finalement, c'est mieux les chtites histoires.
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Triz' |
19/05/04 , 10:45
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Ex Medfanis Scifico Moderatus
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QUOTE Dehors, les gardes impériaux rebelles avaient préparés barricades et barrages pour couper leur retraite. QUOTE Mais l'un d'eux avait été blessé par une sentinelle, que le groupe avait neutralisé sans donner l'alerte pour autant. ?? Faudrait savoir ! Ils ont été repérés ou pas ? QUOTE Aucun signe d'alerte dans les rangs ennemis. Apparement non, alors pourquoi ils ont "préparés barricades et barrages pour couper leur retraite" ?
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Team BOUSE (BOUrrin SEnsible) 9.1 Grand Bourrinator du Lion © Eozen Embassadeur de la Team BOUSE dans le 3.3 Ennemi Personnel /Background Rackham. Immunité /Nuits Blanches. Râleur instinctif (les "1" ne sont pas des échecs).
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Gyaume83 |
21/05/04 , 19:03
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QUOTE Hehehehe. Il y en a marre de ces GIs qui s'en sortent. Un simple sergent aurait mourut, la c'est un sergent vétéran des troupes de choc, qui coute cher donc on économise. QUOTE Faudrait savoir ! Ils ont été repérés ou pas ? Hirrrrrrgggggg j'ai oublié de supprimer le passage et de remplacer.........No comment, je me laisserai flageller toute la nuit.
Apparement non, alors pourquoi ils ont "préparés barricades et barrages pour couper leur retraite" ? [QUOTE] Ca va de mèche avec le passage que j'ai oublié de recopier... Allez je recopie mon passage et je reposte le récit Guillaume - Qué tête en l'air
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Gyaume83 |
21/05/04 , 19:08
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Et voila, c'est un peu plus cohérent comme ceci !
Au sommet d'une colline surplombant la vallée, à une trentaine de kilomètre de la centrale à fusion Nucléaire, une chimère s'arrêta. La rampe arrière s'ouvrit, et deux hommes en sortirent. Ils déployèrent un filet qu'ils posèrent sur la chimère, puis déployèrent deux tubes qu'ils plantèrent dans le sol. Une fois ceci fait, l'un des deux sortir une table de la chimère, tandis que l'autre démarra un groupe électrogène. Une fois la table mise en place, les deux hommes sortirent du matériel informatique, qu'ils relièrent au courrant et à un radar sur le toit de la chimère. « Mon colonel, tous est prêt, annonça l'un d'eux. » L'homme en question sortit et s'assis sur une chaise. Un deuxième gradé vint le rejoindre. Un troisième garde sortit et rejoint les deux autres. Ils se mirent à scruter les environs avec des jumelles.
Les coursives du système d'évacuation étaient très étroites, et les soldats de choc avaient la plus grande peine à hisser rapidement à travers les sas, échelles et autres portes. Il leur restait peu de temps avant que les charges ne déstabilisent les 6 réacteurs et ne fasse exploser la centrale. Mais l'un d'eux avait été blessé par une sentinelle, et ce dernier avait déclenché l'alarme avant de mourir. Les autres gardes en factions étaient activement à la recherche d'eux. Par un bandage rudimentaire, le sergent avait réussi à faire stopper l'hémorragie. Cependant, ces hommes n'avaient entraînés dans les troupes de choc pour rien, et ce lot de soucis faisait parti de leur quotidien. D'après leur digi-plan, la sortie n'était plus loin.
Dehors, les gardes impériaux rebelles avaient préparés barricades et barrages pour couper leur retraite. Prévoyant ceci les fantassins de choc furent assez intelligents pour sortir la où on ne les attendait pas. Deux hommes passèrent furtivement la porte d'un petit bâtiment préfabriqué. Ils posèrent un genou au sol, épaulèrent leurs fusils radiants lasers et scrutèrent les alentours. Voyant que le secteur était sans danger, ils firent signe aux autres. Il déboulèrent du bâtiment et coururent se mettre à l'abri. Personne ne les avait repérés. Prudemment, lentement, ils se dirigèrent vers un hangar par le bais d'une allée garnie de buissons épais. L'escouade disparut derrière des bosquets puis deux hommes se relevèrent et coururent vers le hangar, à une trentaine de mètre. Toujours personne à l'horizon. Ils pénétrèrent. Quelques instants plus tard les communicateurs grésillèrent avant d'annoncer : « Charges en place. Repli vers le point d'extraction ».
Le lieutenant regardait les moniteurs. Il appela tout d'un coup le colonel. « Je reçois les signaux des charges de diversion. Ils se dirigent vers E-1. _Envoyez la Valkyrie et les deux vultures pour les couvrir. Comment se portent ils ? _Aucun mort, seulement un blessé léger. Aucun signe d'alerte dans les rangs ennemis. _Bien. » Le colonel sortit ses jumelles et observa le hangar. Il observa attentivement jusqu'à qu'enfin il perçoive une boule de feu ravager un bâtiment. Tournant la tête, il vit les appareils de la marine impériale raser le sol au bas de la colline.
La panique se répandit dans les baraquements. Où étaient ils ? D'où provenait l'explosion ? Toutes ces questions déstabilisaient les gardes qui allaient et courraient dans tous les sens. Les troupes de choc profitèrent de ce désordre pour traverser un no man's land qui les séparaient du point d'extraction, derrière les hangars des véhicules de service. Durant leur course, ils lâchèrent quelques tirs qui se révélèrent particulièrement précis et mortels contre les renégats. L'escouade se réfugia derrière un muret pour faire le point : aucune victime, le blessé assisté par deux camarades. Les fantassins de choc tiraient, protégés par le muret, jusqu'à ce que des tirs de mitrailleuse lourde les obligent à se coucher. Le sergent risqua sa tête au dehors et vit un énorme Leman Russ qui pointait son obusier dans leur direction. Sentant la mort proche, le sergent adressa une courte prière à l'Empereur. Il entendit soudain un sifflement, puis une explosion gigantesque. Il releva la tête hors du muret, imité par quelques autres fantassins, et ils virent le char éventré, en flamme, recracher des panaches immenses de fumée noire. Un autre sifflement se fit entendre, plus caractéristique : la valkyrie. Le sergent donna l'ordre d'avancer derrière les hangars. Ils virent le vaisseau aller et venir en tirant avec ses multi lasers au sol. Le blessé fut embarqué en premier, puis les hommes montèrent. Le sergent s'assurait dans sa course qu'aucun homme ne soit resté en arrière quand il fut touché par un tir à l'épaule et s'effondra.
Dans le ciel, les vultures tournoyaient tels des oiseaux de proies, en tuant plus de gardes à chaque passage de leurs lance-roquettes et autocanons. Le caporal des troupes de choc vit le sergent s'effondrer et courra voir la pilote. « Faut bouger, lui dit ce dernier. _Je vais chercher le sergent. Il est à 20 mètres. _C'est trop dangereux, ils ont appelé des renforts. _J'en ai pour une minute. Une petite minute _T'as trente secondes avant qu'on soit en retard. » Le caporal était déjà partit. Il courut en tirant à l'aveuglette de son fusil radiant laser. Arrivant près du sergent, il vit une escouade entière qui lui fonçait dessus, à une trentaine de mètre. Le caporal plongea pour se retrouver couché a coté du sergent, inconscient mais encore vivant. Le pilote de la valkyrie poussa les moteurs, décolla à peine et pivota sur place pour mitrailler derrière les deux hommes.
« Mince alors Colonel, on dirait que le sergent ne bouge plus. Son détecteur est immobile depuis une minute vingt-sept. _Qu'ils s'en aillent. Les renforts ennemis vont arriver. _Mais ! Le caporal est allé chercher le sergent. La valkyrie décolle. Non elle reste sur place. Le caporal ramène le sergent. Ca y est, ils y sont. _Je les vois. La mission est un franc succès. Donnez leur rendez-vous au poste avancé. Nous partons. »
Le caporal se hissa en dernier, après avoir fait embarquer le sergent, alors que la valkyrie avait déjà quitté le sol. Derrière eux, les vultures firent un dernier passage en larguant les réservoirs auxiliaires puis tirèrent dessus. Les explosions touchèrent une réserve de carburant qui explosa à son tour. Les panaches de fumée noire couvrirent leur retraite. Ils rejoignirent la valkyrie et se placèrent en formation de protection.
Guillaume - Finalement, c'est mieux les chtites histoires.
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