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Il n'y a aucune lourdeurs patriotiques si ça peut en rassurer certains.
Heu, un peu quand-même et les dialogues frisent par moment le niveau d'un gosse de 6ème.
J'ai rougit à plusieurs reprises devant la bêtise de certaines répliques, alors que les effets spéciaux étaient formidables. Je les soupçonne de s'être inspirés du film "planète hurlante" pour le Transformer du début.
Le problème est que le film a un côté vraiment très violent et qu'ils l'ont contre-balancé par de l'humour parfois bienvenu, mais les dialogues simplistes, voire débiles m'ont empêché "d'entrer" dans le film et m'ont laissé comme simple spectateur. Genre un Marine qui dit au bout de quelques secondes : "Tu es un soldat, maintenant..." à un gosse de 15 ans qu'il voit pour la première fois, juste parce qu'il était au mauvais endroit au mauvais moment.
Des images très violentes, mais pas de sang ni de tué. Ca donne une impression de "pas fini" dans la bouche.
Parfois l'humour va trop loin, comme la bureaucratie complètement ridiculisée ou les parents conditionnés à agir instinctivement (et stupidement) aux tremblements de terre. Ca n'amène strictement rien au scénario du film et c'est en dehors du sujet.
Il y a de bonnes choses dans ce film (les Transformers), mais tout ce qui est autour est à jeter.
Je n'ai pas fait de liste exhaustive de tout ce qui ne va pas car la liste serait longue. Je ne regrette pas mon billet de ciné pour les Transformers, mais ils auraient pu faire quelque chose de beaucoup plus intéressant autour.
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...et je ne pense même pas que les "USA" ne soient cités durant le film.
Effectivement, le mot "USA" n'est pas employé, on y parle juste de Force One (l'avion du président des USA), du Pentagone et de factions américaines secrètes ou non. D'ailleurs, le film ne parle que d'américains. Eux seuls ont un lien avec les Transformers et quand on les voit dans un pays étranger, l'action se passe dans une base américaine ou là où ils se sont réfugiés.
Edit : Quand je dis qu'il n'y a pas de tué, je veux dire qu'on n'en voit aucun à l'écran. Par contre, ils disent dans le film qu'il y en a eu beaucoup, mais le spectateur n'en voit aucun.