QUOTE
Génésis.
Sur le monde de Génésis un Thousand Sons au savoir immense s'attable au banquet de nouvel an. Dans la plus pure tradition locale les invités conviés partagent le pain et le vin.
Tous les convives savourent ce moment de paix et de joie.
Mais l'un d'entre eux n'est pas le bienvenu. Un assassin du Temple Culexus est là pour arrêter les machinations perverses du Marine désavoué. Celui ci communique avec lui, tente de le raisonner.
L'hote des lieux, une magnifique femme, instrumentalisée par le Marine, a "décidé" d'empoisonner une partie de ses convives. Lors du compte à rebours pour la nouvelle année un toast est porté, les membres du gouvernement impérial boivent le délicieux poison offert, sous l'oeil ravi du Marine.
Au cours d'un monologue envahissant, pénétrant, hypnotisant le Thousand Sons convint l'assassin d'attendre la fin du repas pour le tuer...
Il lui raconte son existence pleine d’errances et de découvertes, son ancien monde et son nouveau monde, ses choix, sa voie.
Il lui expose sa vision de la vie, dévoile au Culexus ce que celui-ci ne veut pas connaître, le force à songer aux années de douleurs de son entraînement, tente de le plier à sa volonté.
Les convives foudroyés par le poison chutent, libérant l’énergie nécessaire pour son passage d’un état à un autre. Le Thousand Sons et son ennemi se gorgent des horreurs de la trahison.
Mais tout cela participe aux rituels nécessaires pour qu'il devienne Prince Démon. La possession a lieu sous les yeux de l'assassin dépassé qui libère la puissance de sa non existence, niant les réalités du Marine.
S'ensuit un combat effrayant entre le nouveau Prince démon et le Culexus, un duel qui les liera pour une éternité de luttes et de vengeance.
Sur le monde de Génésis un Thousand Sons au savoir immense s'attable au banquet de nouvel an. Dans la plus pure tradition locale les invités conviés partagent le pain et le vin.
Tous les convives savourent ce moment de paix et de joie.
Mais l'un d'entre eux n'est pas le bienvenu. Un assassin du Temple Culexus est là pour arrêter les machinations perverses du Marine désavoué. Celui ci communique avec lui, tente de le raisonner.
L'hote des lieux, une magnifique femme, instrumentalisée par le Marine, a "décidé" d'empoisonner une partie de ses convives. Lors du compte à rebours pour la nouvelle année un toast est porté, les membres du gouvernement impérial boivent le délicieux poison offert, sous l'oeil ravi du Marine.
Au cours d'un monologue envahissant, pénétrant, hypnotisant le Thousand Sons convint l'assassin d'attendre la fin du repas pour le tuer...
Il lui raconte son existence pleine d’errances et de découvertes, son ancien monde et son nouveau monde, ses choix, sa voie.
Il lui expose sa vision de la vie, dévoile au Culexus ce que celui-ci ne veut pas connaître, le force à songer aux années de douleurs de son entraînement, tente de le plier à sa volonté.
Les convives foudroyés par le poison chutent, libérant l’énergie nécessaire pour son passage d’un état à un autre. Le Thousand Sons et son ennemi se gorgent des horreurs de la trahison.
Mais tout cela participe aux rituels nécessaires pour qu'il devienne Prince Démon. La possession a lieu sous les yeux de l'assassin dépassé qui libère la puissance de sa non existence, niant les réalités du Marine.
S'ensuit un combat effrayant entre le nouveau Prince démon et le Culexus, un duel qui les liera pour une éternité de luttes et de vengeance.
Et un extrait qui est plutôt pas mal:
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Les extrêmes se touchent mon ami. Et nous sommes tous deux au bout de la même ficelle, ballotté par des mains insouciantes quant à notre devenir, marionnettes serviles et puissants psykers pourtant.
N’est ce pas paradoxal ?
Ils s’arrachent cette laisse des mains comme de petits enfants dont le jouet fétiche est brisé par les mauvaises humeurs des autres.
C’est ridicule.
Nous pourrions l’un et l’autre accomplir tant de grandioses choses mais par un hasard idiot nous nous choquons dans une joute inconnue.
Ca y est, le poison versé dans les verres entame doucement son œuvre.
Quelques convives s’effondrent entre les survivants, tombent de leur chaise, pantelant, agonisant.
Frayeur et désespoir…
Tes meilleurs alliés mon ami, bois, bois donc à leur folie, à leurs derniers instants !
Gave toi des dilemmes et des forces échappées, des souvenirs envolés et des regrets divers !
Je sens ton âme se gorger du malheur…
Pour ma part je dévore ceux qui sont de la race des choix, délicats fumets exaltants, je m’imprègne des senteurs et des reflets des disparus.
Tant d’âmes à la fois !
Tant de nouvelles puissances !
C’est un feu descendu du ciel, une furieuse et éclatante force, un instant foudroyant.
Ah… mon ami.
N’y a-t-il donc rien de plus épanouissant pour nous que les accents de la trahison ?
Elle rie !
Elle rie comme je rie moi-même des espoirs effondrés, des vies sacrifiées, des familles déchirées.
Elle brise le pain sacré de son monde, dévoilant les funestes usages des hôtes malfaisants.
Elle ne comprend pas en réalité ce qui se joue ici.
Toi seul de cette assistance dévastée aperçois le sinistre appel envoyé.
Détail cinglant ni son mari ni son amant n’ont survécu à ses choix.
Cette femme là est folle !
Des hommes se tournent vers moi, ils m’observent, attendent que je décide de leur avenir.
Comme c’est touchant…
Et pourtant je ne te quitte pas des yeux, mon ami, mon frère, mon assassin.
Car je sais que cette énergie nouvelle veut se libérer, se donner au monde, l’inonder de sa propre décrépitude.
Vas y !
Vas y je te pris !
Laisses toi aller pour une fois, montre leur qui tu es vraiment, ce que tu n’as jamais été et ne veux pas être.
Je romps le charme des apparences, tu as de nouveau la silhouette du tueur, toute ta splendeur est libre de se déployer.
Oui cher Culexus, décrète à l’envie les avenirs sordides.
Car j’ai la réponse qui me vient enfin, la réponse à toutes les questions !
Elle monte en moi, marée vorace.
Elle m’imprègne, se joue de mon être, méprise mon ego et hurle à travers moi.
Aux ailes nouvelles te voilà répondre par les instants subis, haine et dévoration me percutent de plein fouet, comme si cela avait la moindre importance maintenant.
Aux banquets déchirés et aux âmes damnées tu offres le trop plein de rancoeurs infectes.
Oh oui tu es le jouet de tes maîtres et moi désormais je suis le réceptacle du mien !
Je m’offres à lui afin de connaître pour les éternités à venir le véritable écoulement du temps.
Tu as trop attendu mon ami, car le voici… me voici.
N’est ce pas paradoxal ?
Ils s’arrachent cette laisse des mains comme de petits enfants dont le jouet fétiche est brisé par les mauvaises humeurs des autres.
C’est ridicule.
Nous pourrions l’un et l’autre accomplir tant de grandioses choses mais par un hasard idiot nous nous choquons dans une joute inconnue.
Ca y est, le poison versé dans les verres entame doucement son œuvre.
Quelques convives s’effondrent entre les survivants, tombent de leur chaise, pantelant, agonisant.
Frayeur et désespoir…
Tes meilleurs alliés mon ami, bois, bois donc à leur folie, à leurs derniers instants !
Gave toi des dilemmes et des forces échappées, des souvenirs envolés et des regrets divers !
Je sens ton âme se gorger du malheur…
Pour ma part je dévore ceux qui sont de la race des choix, délicats fumets exaltants, je m’imprègne des senteurs et des reflets des disparus.
Tant d’âmes à la fois !
Tant de nouvelles puissances !
C’est un feu descendu du ciel, une furieuse et éclatante force, un instant foudroyant.
Ah… mon ami.
N’y a-t-il donc rien de plus épanouissant pour nous que les accents de la trahison ?
Elle rie !
Elle rie comme je rie moi-même des espoirs effondrés, des vies sacrifiées, des familles déchirées.
Elle brise le pain sacré de son monde, dévoilant les funestes usages des hôtes malfaisants.
Elle ne comprend pas en réalité ce qui se joue ici.
Toi seul de cette assistance dévastée aperçois le sinistre appel envoyé.
Détail cinglant ni son mari ni son amant n’ont survécu à ses choix.
Cette femme là est folle !
Des hommes se tournent vers moi, ils m’observent, attendent que je décide de leur avenir.
Comme c’est touchant…
Et pourtant je ne te quitte pas des yeux, mon ami, mon frère, mon assassin.
Car je sais que cette énergie nouvelle veut se libérer, se donner au monde, l’inonder de sa propre décrépitude.
Vas y !
Vas y je te pris !
Laisses toi aller pour une fois, montre leur qui tu es vraiment, ce que tu n’as jamais été et ne veux pas être.
Je romps le charme des apparences, tu as de nouveau la silhouette du tueur, toute ta splendeur est libre de se déployer.
Oui cher Culexus, décrète à l’envie les avenirs sordides.
Car j’ai la réponse qui me vient enfin, la réponse à toutes les questions !
Elle monte en moi, marée vorace.
Elle m’imprègne, se joue de mon être, méprise mon ego et hurle à travers moi.
Aux ailes nouvelles te voilà répondre par les instants subis, haine et dévoration me percutent de plein fouet, comme si cela avait la moindre importance maintenant.
Aux banquets déchirés et aux âmes damnées tu offres le trop plein de rancoeurs infectes.
Oh oui tu es le jouet de tes maîtres et moi désormais je suis le réceptacle du mien !
Je m’offres à lui afin de connaître pour les éternités à venir le véritable écoulement du temps.
Tu as trop attendu mon ami, car le voici… me voici.
Il est un poil plus zarebi que le précédent je dois dire, mais colle fluffiquement et non dénué d'humour.
Perversité, manipulation, héro ignoble, possession, pôv' gars envoyé pour le tuer... Lucrèce Borgia, la Cène, tout ça machin.
L'extrait méritera un nouveau travail dans le corps du texte (qui est fini à 4600 mots, sachant qu'il faut que j'intègre un ou deux évènements, ce qui m'amènera à 6500 je pense le moment venu)
Kékevouzenpensé?
Je n'ai aucune idée du "déjà vu" que ça pourrait engendrer je n'ai jamais lu de bouquin de la BL...
Once, allez zou un 3ème pour la route au cas où.