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Full Version: [RP] Rest In Peace ...
La Communauté Francophone du Wargame > Près du Wargame (ou pas, au choix...) > La Taverne
Maxwell
Khet ... C'est ainsi qu'on m'appelle désormais ... Mon ancien nom n'as plus d'importance ... Plus grand chose n'en as ...
Ils sont arrivés il y as relativement peu de temps, en fait, j'ai toujours su qu'un rien suffirait à détruire notre société ... Mais ça a été encore plus rapide que ce que je croyais ...
Encore, dans le sud, on est relativement à l'abri, non pas "qu'ils" soient absent, mais les survivants s'en sortent ... Pour l'instant ... Il faut cependant trouver un moyen de s'en sortir ...
Nos communications sont foutues, on a plus de nouvelle des autres pays depuis des jours, on a donc résolu d'envoyer des volontaires aux quatre coins du pays pour obtenir des nouvelles ... J'ai décidé de partir pour le nord, abandonnant celle que j'aime et ceux que j'ai réussit à sauver ... Selon moi, la solution, si elle existe, se trouve à Paris, c'est là que tout à commencer, si il y a des équipements encore en état, c'est là bas ...

Sinon, qui suis-je ?
Un jeune maghrébin, adulte depuis assez peu de temps. Féru d'armement, de math et d'art ... Pour les deux seconds, ça ne m'as pas trop servit ... Le premier, par contre ...
Je suis plutôt grand et massif, pas une montagne non plus, je ne suis pas spécialement vif, pas habile, plutôt gaffeur ...
Ce qui m'a permit de survivre ? Mon sens de l'observation ... Je peux réagir avant n'importe qui si je sais ce qui va arriver ... Que ce soit à la vue, à l'ouïe, ou juste à l'intuition ...
Il est vrai que ma bonne vieille Kalashnikov m'a bien aidé aussi.

Donc, voila ... Je suis en route vers le nord, dans une camionnette recouverte de plaques de métal et de grillage, cahotant sur la route, mon AK sur le siège à coté de moi, un Glock sur les genoux, et du rock dans les oreilles ...
J'ai embarqué le juste nécessaire ... De l'essence, des conserves, autant de munitions que possible, un SPAS-12, de l'eau, un lit, des jumelles, des lampes torches et une radio ...
Bon, j'ai aussi un kit complet d'accessoires du pacte de Varsovie ... Autant il est impossible de fabriquer une arme à feu correcte ou des munitions de nos jours, autant je sais vous entretenir ou vous rafistoler à peu près n'importe quoi et je sais aussi modifier les armes à feu existantes ... Une compétence rare et recherchée par les temps qui courent ...

J'approche de la banlieue de Paris, le voyage a été loin d'être calme, j'ai du fuir plusieurs fois devant des villageois morts ou affamés, et souvent les deux ...
Je m'arrête devant une petite supérette ... J'en fais rapidement le tour en barricadant toutes les portes, j'achève le gérant à la hache ... Quelqu'un avait semble-t-il commencé par les jambes ... tss tss tss ... La tête, toujours la tête, même sur "eux" ...
Je vide ensuite mon van à l'intérieur du bâtiment, heureusement, le volet mécanique fonctionne encore ... Je l'actionne, il se ferme tranquillement ... La porte de service est facile à ouvrir avec les clés du gérant ... Toujours repérer des sorties de secours, première loi de la survie, quel que soit le milieu ...
Tiens ... un grattement, dans le rayon charcuterie ... Pas grand chose, en temps normal, personne n'y aurait prêté attention ... J'ajuste un silencieux sur mon AK ... Finalement, cette supérette n'était peut être pas si bien que ça ...
cacahuète master
[modo on]
2 Topics différents pour un RP non-40k, ça fait 1 topic de trop.
Donc je suppose que maintenant que tout est clair, tout se fera ici.

Au passage, le RP n'est pas 40k ou Battle, donc pas spécialement dans l'esprit du forum, donc si ça déborde comme ça à pu déborder là-bas (en 40k), on ferme. Là-bas ça a frôlé la fermeture, ici ça ne frôlera pas.

Donc je ferme l'autre.
Et pour les parties hors RP, mettez une balise [HRP].
[modo off]


Cacahuètement.
Hugo - modérateur.
jarran29
"Gast, en voilà d'autres..."

Sans attendre qu'ils ne m'encerclent, je m'élance vers les trois zombies (c'est à ca qu'ils me font penser, mais je ne sais pas s'ils sont réellement mort, où juste mutés... pas le temps de vérifier...). Je lève mon merlin, et j'écrase la tête du premier dans une gerbe de cervelle. Un pas de plus, je contourne le corps s'effondrant en dégageant mon arme pour la faire tournoyer, et décapiter le second. Emporté par mon élan, je renverse d'un coup d'épaule le dernier, et l'achève, en le brisant la nuque d'un coup de pied.

Je reprend mon souffle, et regarde où mes combats m'ont conduit. Rayon produit hygiénique. Hum... Mes sacs sont aux conserves...

Pour ceux qui ne savent pas qui je suis, on m'appelle Le Fix', ou Fix' tout court. Je tente de survivre à Brest. La bonne nouvelle, c'est qu'il y a peu de zombis ici : l'armée à fait un gros ménage, en vain. La mauvaise, c'est que de nombreux soldats ont été contaminés/relevés.

J'ai des compétences en électronique, mécanique, informatique et pyrotechnique. Mais, j'ai le gros problème de toujours vouloir aider mon prochain... Ma condition physique entretenue jusque là m'a permis de survivre. mais je ne peux m'empêcher de chercher des survivants dans ma ville. Si j'ai survécu, pourquoi pas d'autres?

Ah! Voilà mes sacs. Un grand sac à dos, remplis de conserve, de viandes et de fruits séchés, un sac de sport gavé de liquide en tout genre, eau, jus d'orange, soda, alcool (tout ce qui n'était pas endommagé en fait), et un autre, remplis de quoi préparer des explosifs assez puissant pour envoyer ad patre un groupe de zombies, ou faire exploser une porte récalcitrante.

Silence!
Bruit de pas, 30m, au niveau de la caisse principale.

Je me baisse, et pose délicatement mes sacs aux sols. Une conserve fait du bruit... Les pas se rapprochent. J'observe par un interstice. Un humanoïde, entièrement en noir, avec un gilet tactique et un Famas à la main. Pas de symbole. Casqué et cagoulé.

Merde... Un soldat.

Je prend ma dernière grenade artisanale dans la main droite, alors que la gauche se saisit de mon fidèle merlin. Je me mets à ramper entre deux caisses (pas facile avec une arme à deux mains, et une grenade...) sans faire de bruit, et à me retrouver derrière lui. Grenade... 4 secondes. Top.

La sphère métallique a à peine rebondit contre le sol que le soldat saute se mettre à couvert, avant l'explosion.

Rapide... Trop rapide... Beaucoup trop rapide pour une journée aussi humide...

Je risque un œil par dessus le tapis roulant, et je vois son Famas dépasser, comme scrutant la zone. Visée décalée... Re-merde...
Arnor
Je me suis réveillé un matin comme les autres, avant de partir comme les autres matins en grommelant au lycée. J'ai vu des gens dans la nuit Normande en train de tituber plus que d'habitude, et je leur ai souhaité de trouver de l'aspirine à leur réveil.
Cependant, après une centaine de pas, je constatais qu'il y en avait de plus en plus, et qu'un maximum commençait à converger vers moi.
L'un d'entre eux a avancé et est passé sous un réverbère, et là j'ai commencé à sérieusement flipper, parce que je n'ai jamais vu un humain survivre avec les tripes à l'air.
- Mais c'est quoi ce bordel....
N'étant pas encore trop loin de chez moi, une poussée d'adrénaline et de panique pure m'a fait rentrer chez moi à toutes pompes, en évitant les silhouettes dans la brume qui commençait à se dissiper et laissait apercevoir d'autres de ces choses.
Arrivé devant la porte de mon immeuble, mes mains ne semblaient plus savoir laquelle était la bonne clé, et je mis presque 20 secondes à me calmer, à respirer un grand coup et à introduire ce putain de morceau de métal dans la serrure.
J'avalais les cinq étages comme une flèche, et mis moins de temps à ouvrir la porte de l'appart', pour trouver mon petit frère à moitié avachi sur son bol et sa tartine.
- T'a pas cours, ou quoi?
- Nan, mais yaaa...des gens bizarres dans la rue! J'te jure, on se croirait dans un film de zombies!
- Mouais, grommela-t-il avant de se replonger dans sa tartine et son bol.
- Au fait, t'as vu papa ce matin? ajoutais-je en me dirigeant vers sa chambre et la mienne, jouxtant celle du paternel.
Je pris le temps de m'arêter à la salle de bains, et me passait de l'eau sur la figure pour me réveiller, avant de poursuivre mon chemin.
La porte tremblait et grognait.
- P'tain, gast, je crois que papa est devenu un zombie!
- Mais de quoi tu parles, repondit-il en passant la tête par la porte, juste au moment où la porte explosa, laissant passer ce qui avait été mon père, les mains arrachées par le défonçage de la porte. Je reculai et me mis dans le couloir étroit, pas plus d'un mètre de large, avant de saisir le porte-encens en bois et de lui matraquer la tête avec, alors qu'il se jetais sur moi.
Je sortis péniblement de sous son corps aplati, imbibé du sang qui coulait de ses mains.
- Et merde....

Edit Belannaer : Un bon RP est déjà un RP bien écrit, les gars. 37 fautes pour 10 lignes de moins, c'est pas super agréable.

Edit Arnor: Désolé, je corrige tout ca, ca fait tache en gras....
Et "respirer UN grand coup, sans "s"...

Édit Belannaer : Mais respirer À grands coups, avec des "s". Après si finalement tu préfères "un", c'est toi qui vois... Mais si je mets les fautes en gras, c'est qu'il y a une raison, en l'occurrence montrer ce qu'il ne faut pas faire. Donc la prochaine fois soit tu fais un effort soit tu assumes tes fautes, merci.
ste77
Ce matin là, comme tous les matins à une chose près, une fois levé et préparé, je sortis tranquillement de chez moi et là surprise !

La rue, le quartier, la ville, tout n’étaient que chaos. Une fois que j’eusse réalisé ce qui avait dû ce produire durant la nuit précédente, je me mis à courir le plus rapidement possible chez moi.

Une fois chez moi, je m’armas avec divers couteau plus ou moins gros puis je sortis de chez moi et soudain je vis une douzaine de personnes dans la rue, cela me parut étrange à cet heure mais surtout le plus étrange fut dans le fait qu’une fois que je m’étais approché pour avoir des informations sur le déroulement de cette nuit, ils me répondirent dans une langue incompréhensible jusqu’à ce que l’un d’eux se retourna vers moi un bras manquant, et dégoulinant de sang.

Voyant cela je me remis à courir, la douzaine de ces « choses » à mes trousses quand, dans ce chaos fait de voitures en feu, de bâtiments détruits et de cadavres sur la chaussé je vis encore plus de ces créature courir vers moi…

Il ne me vînt qu’une seule solution pour survivre : rejoindre la base militaire ou ne serait-ce qu’un lieu sûr et une idée m’apparue, près de mon lycée à Melun, il y a plusieurs bases de la gendarmerie, ils auront sûrement des armes ou ne serait-ce qu’un abri pour les survivants mais d’abord je devais trouver un moyen d’aller jusqu'à Melun…

S.t.e.7.7ment
Steven
Nemesis
Ce matin là, je me levai, encore la tête dans le cul, comme tous les matins d'ailleurs. Pantois, j'enfilai mon jeans et un Tee-shirt, histoire de pas cailler. Comme d'ordinaire, je prenais un petit déj' et me coiffais. Une fois prêt je me suis dirigé vers l'arrêt de bus, toujours pas réveillé. Enfin arrivé, je trouvai bizarre de ne pas voir la personne attendant avec moi d'habitude. Je me mis alors à attendre, l'autoroute à seulement 100 mètres était étrangement vide, seules une ou deux voitures y circulaient... à une vitesse folle. Au bout de dix minutes le car n'était toujours pas arrivé, je décidai de rebrousser chemin et de rentrer chez moi pour partir en derbi. Cinq minutes plus tard je démarrais, bouillonnant.

Une brume épaisse s'était abattu sur les terres alentours et on y voyait pas à 30 mètres. Ainsi quand une forme sombre surgit à ma droite à peine à 500 mètres de la ville, je fus totalement pris au dépourvu, mais continuai ma course. Flippant à mort, je tournai ma tête vers l'inconscient qui s'était jeté sous mes roues.... sa silhouette avait déjà disparu dans le voile blanchâtre. Je pris la route de la place des cars.... le spectacle qui se dévoilât sous mes yeux abasourdis était incompréhensible... aucun car présent... on était pourtant mardi ! C'était quoi c'te connerie ?!

Mon étonnement fut ponctué d'une froide sensation me parcourant l'échine, l'adrénaline ne tarda pas à se diffuser dans mon corps et d'un geste je trifouillai la poche intérieur de ma veste ou j'y avais laissé mon couteau. Je sortis ce dernier précipitamment, aux aguets. Jamais je n'avais éprouvé une telle sensation de frayeur, c'est ce qui m'a fait réagir aussi vite. Soudain, un abominable grognement se fit entendre à ma droite... je ne perçus rien mais la brume commençait déjà à se lever.... un bruit de pas... non... des bruits!

Aussitôt j'enfilai mon casque, enfourchai ma bécane, insérai la clé et démarrai l'engin. Je ne tarda pas à apercevoir des formes décharnées d'être humain, sans en voir plus. Je failli finir pétrifié par cette vision mais un appel au loin me rappela à la réalité. Je tournai la manette des gaz et passai successivement les vitesse pour parvenir à la source de l'appel... mais rien.. personne. Je décidai alors de rentrer chez moi à 8 kilomètres plus loin. Mais j'allai encore devoir traverser la campagne séparant les deux villes.. brrr.

Un air lourd pesait sur cette fraîche matinée, le soleil commençait à peine à se lever, et déjà, vingt minutes plus tard je pus constater qu'un inquiétant feu rouge dévorait l'horizon. Inquiet, je pris vers le sud avant l'entrée de , j'habitais juste à côté. Ma soeur et mes parents étaient déjà partis, un fort pressentiment s'empara de moi... Je montai dans ma chambre et pris mon katana, c'était la première fois que je le sortais hors cours et je ne savais pas vraiment pourquoi je faisais ça... pourtant parfaitement conscient. Ainsi je repartis,cette fois direction ... quelque chose n'allait pas et mon impression ne tarda pas à se confirmer... la citée était à feu et à sang. De rares personnes couraient en hurlant, j'en vis d'autres la tête entre les genoux, le dos contre un mur, inertes.

Où aller ? Que faire ? Tous n'était qu'anarchie.... et chaos...
ste77
Je courus sur la route menant à la gare, des hordes de zombies me poursuivaient, mais quand je vis des buissons ou plutôt une haie je me jeta dedans, les zombies que j’avais presque distancés passèrent devant moi sans me remarquer quand soudain l’un d’eux s’arrêta, les autres continuèrent, moi tremblant un couteau à la main j’attendais qu’il s’approcha.

Il s’approcha lentement, moi j’attendis mon couteau à la main le bon moment, il passa le main dans la haie pour m’attraper et là j’attrapais sa main, le tira vers moi et lui planta le couteau dans le ventre, il en eu le souffle coupé, sans attendre j’essayais de lui casser la nuque, alors je l’attrapa par la tête et lui la retourna et là, comble de l’horreur, il me fixa et se mit à rire.
J’avais raté alors je n’avais plus qu’une solution, je pris un second couteau et lui planta dans l’œil, environ 20 cm de la lame entra, il convulsa et mourus pour de bon.

Une fois cet obstacle passé j’atteignis discrètement la gare, le seul moyen d’aller à Melun était de passé par les voies, malheureusement il n’y avait aucun train, tandis que j’observais les voie depuis l’extérieur de la gare j’entendit un bruit derrière moi, je me retournais et vit des zombies, je courus une fois de plus, une fois dans la gare avec 6 zombies à mes trousses je vis les portillons automatiques je passa avec ma carte, les zombies n’avaient pas eu cette chance et restèrent de l’autre coté.
J’avançais sur les voies …


S.t.e.7.7ment
Steven
jarran29
Adossé derrière la caisse, je saisis une conserve de mon sac, et la lançe dans un rayon. Un clong retentissant résonna dans la grande surface.

Le canon disparait du tapis roulant, et, à ma plus grande suprise, une voix m'apostrophe :
"Hey, toi! Tu es humain? Vivant, je veux dire? Enfin, vivant et normal, si tant est que la normalité soit d'être comme avant?"

Une voix... Une voix articulé autre que la mienne.

"Oui... Je suis, euh... normal, vivant et tout..."

C'est peut être un piège, mais, c'es vraiment trop gros pour être possible...

"'Tin, t'es le premier que je rencontre... Viens là, où je suis, qu'on discute."

En fait, peut être que c'est un piège...

"Non, toi viens, j'ai mes sacs avec moi là, plein.
_ Erf... Bon, OK, J'arrive."

Silencieusement, le soldat marche doucement vers moi, et brutalement, s'arrête en me visant. Je le vois porter son viseur devant son oeil et... Je me jette sur le coté alors qu'il ouvre le feu dans un crépitement assourdi.

Un liquide poisseux goutte de mon épaule, mais je l'ignore, et attaque le soldat, et attrapant mon merlin. Un choc sourd derrière moi me retiens de frapper, et du coin de l'oeil, je vois le cadavre d'un chien salement déformé affalé en grognant là où j'étais assis. Continuant mon mouvement, j'abbas mon arme sur le crâne de la chose.

"Merci, dis je.
_ De rien. Tu as un endroit où te planquer?
_ Ouais, un ancien bunker, sous une brasserie. Tranquille. J'y ai rassemblé de la bouffe, un peu de matos, et même un matelas... Enfin, apparemment, va falloir un second...
_ Yep, j'ai pas trouvé de planque sûre encore, donc, je squatterai bien chez toi...
_ OK! Remplis ton havresac, et suis moi... c'est à un quart d'heure d'ici...
Arnor
Je suis rentré dans ma chambre et j'y suis resté, en regardant dans la rue par la fenetre. La brume se dissipe, il ést à peu pres dix heures du mat'.
J'ai vu un pauvre type se faire choper par une bande de ces choses, vers neuf heures et demi.
Il s'est beaucoup débattu, mais à quinze sur lui....
Je crois qu'il a hurlé beaucoup plus qu'il ne l'est humainement possible quand on se fait éventrer à la main et arracher les tripes à coups de dents.

- Gast'! T'est encore la?
- Ouais! J'suis dans ma chambre, me parvint une voix de l'autre coté du mur, derriere ma tenture.
- On fait quoi?
- A manger, déja, il est presque midi, et tu m'a interrompu en plein déjeuner ce matin. En plus c'est ton tour.
- T'abuse....
Je sortis pour trouver le cadavre encore étalé en plein milieu du couloir, la tête éclatée comme une pèche trop mure qu'on aurait écrasée avec le poing.
- Et merde....
Je repartis dans ma chambre chercher une couverture, l'enrouler dedans avant de le mettre dans sa chambre, en laissant une trainée de sang devant les chambres de l'appart'.
- Hey, t'a fermé la porte de l'appart, et celle de l'immeuble?" me demanda mon frêre en passant la tête par sa porte et en se dirigeant vers la cuisine, pour faire chauffer des pâtes.
- Nan, j'vais voir. Je repartis auparavant dans ma chambre, et tirais de sous mon lit une valise noire.
L'arc était en bois, avec une poignée plus sombre que les branches, et avec l'habitude, je le montais en deux temps trois mouvements. J'avais en tout neuf fleches, que je mis dans mon carquois, avant de l'accrocher à ma ceinture.
Je passais également par le cuisine, avant de me raviser et de prendre la barre métalique qui servait à poser les serviettes dans la sale de bain? Je ressortis pour trouver mon petit frêre dans la chambre de mon pêre, contemplant son visage encore in tact, dont j'avais fermé les yeux.
- On dirait presque qu'il dort, hein?
- Ouais, dis-je en retenant mes larmes. Je pense qu'il aurait voulu qu'on fasse ça. J'ai pas réfléchi, tout à l'heure, mais maintenant, je pense que oui. Tu viens, lui dis-je en lui tendant la barre de fer.
- On condamne les portes d'entrées, celle de devant et de derriere, en verre, mais il n'y a pas d'autres entrées?
- Je crois pas, mais 'faudra vérifier le sous-sol, il pourrait y avoir un passage vers les garages et les poubelles.
- Au fait, tu a vu l'autre abruti?
- Le mec qui s'est fait bouffer dehors?
- Nan, le chat.
- "Minou minouminouminou...... fit-il avant d'aller vers le salon.
J'étais en train de mettre mes chaussures, de grosses rangers noires, quand mon frere revint vers moi en tenant la bestiole qui crachait le plus loin possible de lui avec la barre.
- Rho, nan, pas lui.....
- Grouille, il va finir par passer! En plus, il a essayé de me mordre!
Ce n'était plus vraiment mon mignon petit chat de 8 mois, mais une affreuse bestiole, qui puait la mort et avait les yeux en sang. "Pousse toi" dis-je, avant de marcher droit dessus et de lui éclater la tête d'un coup de ranjos.
Je le pris et le regardais une derniere fois avant d'aller à la fenetre et de le balancer cinq étages plus bas.
Les "zombies", puisque je ne trouvais pas d'autre nom, étaient déja devant l'immeuble.
- Et merde.....
Maxwell
J'ai mal dormit ... Après avoir nettoyé le magasin à la hache, je me suis rendu compte du nombre de ces saletés qui pouvaient s'y cacher malgré la petite taille du coin. J'ai dormit dans une salle isolée que j'ai barricadé de l'intérieur, une sale nuit ...
Au matin, je continue à agrémenter mon nouveau "chez moi" temporaire, je renforce mes barricades en poussant des rayons, je sort les cadavres, et j'arrache tout ce qui permettrait à un tiers de monter sur le toit ... Mouais, ça m'as l'air bon là ...
Je vérifie aussi mes classiques, je ferme un accès à des tunnels de service, et je clos l'aération, un refuge du sud est tombé à cause de conneries dans ce genre, deux cents âmes massacrée en un peu plus d'une demi heure ...

J'allume ma radio, la branche sur le réseau du bâtiment qui, chance, marche encore, et je balance mon message sur les ondes. C'est un vieux modèle de l'armée, réglé pour balayer toutes les fréquences, alternativement, pendant des jours et en autonomie si nécessaire.

"Ici un survivant, si vous recevez ce message, voila les informations ...
Le sud de la France est envahi aussi, toute la côte au moins, et on n'as pas eu d'information de l'Italie ou de l'Espagne depuis longtemps ...
Je me trouve sur la "petite place", au sud ouest de Paris, si vous êtes en vie et que vous cherchez comment arrêter tout ça, essayez de me rejoindre ...
Ici un survivant, si vous recevez ce message ..."

Les transmissions étaient pour le moins hasardeuses dans les environs, mais c'était mieux que rien ...
Je passa la matinée dehors, dans un hôtel de ville désolé, pour savoir où se trouvait la gendarmerie ou le lieu militaire le plus proche ... A cinquante kilomètres de mon petit chez moi, j'allais devoir emprunter le van, ce qui ne me réjouissait pas. Ce type de véhicule ayant la fâcheuse habitude d'attirer tout ce qui bouge encore aux environs, zombies ou pillard ...
Mais pas le choix ...
Chapeaux à large bord vissé sur la tête, un tissu autour du cou et de la bouche, des lunettes larges, un manteau et des gants noirs, un jean sale et couvert d'une seconde couche de tissu et des bottes lourdes. Ma hache dans le dos, horizontale et au niveau de la ceinture, le glock à la hanche droite, et mon fier AK équipé d'un aim point et d'une lampe torche en bandoulière ...
Je suis partis ...
Van à la c** ...
Commissaire maximius
-Max! Max! Oh! qu'es-ce tu fous?
-Désoler, m'étais endormis.
Je relevais la tête et la tournais vers Clem.
-Quoi de neuf ?
-Rien du tout à part un autre échec pour atteindre le lycée.
-Corot encore inaccessible? C'est pas bon. Où sont Rom et Fenech?
-Fenech sur le tois avec les jumelle et les arcs. Quand a Romane... elle doit se balader dans le commissariat.
J'acquiésais et sortis en demandant a Clem de surveiller la radio.

En allant sur le tois je croisais Romane.
-Je vais à la salle de surveillance. Toute les caméras du commissariat marche, barricade de l'entrée principale renforcé avec des casiers.
-Ok et pour les zones rouges?
-Faut voir avec Quentin c'est lui qui a fait le tour ce matin. Sinon tu t'es bien reposer?
-Sa peut aller mais vas te reposer, je te remplace.
Elle partis soulagée de pouvoir aller dormir.

Une fois sur le tois j'allais rejoindre Fenech. Il devait son surnom à son nom de famille.
-Comment a été la sortie?
-Horrible il y a de plus en plus de zombs. On peut plus aller a la gare et au lycée. J'ai noté sur le plan où sont les zombs et les véhicules en état de marche. Je sens qu'on va passé une sale nuit.
-Youpi tout va pour le mieux.
Il me regarda bizarrement puis reportage son attention sur les environs. Je descendais vers la salle de surveillance en priant pour que Fenech se trompe. S'il avait raison, nous passerions une longue et atroce nuit.
ste77
Les yeux béants, je vis cette chose effrayante : des zombis étaient debout ou allongés sur les voies avec divers instruments, soudain un train arriva.
Il se dressa debout, je vis 7 wagons monter les uns sur les autres, puis retomber avec un abominable craquement, en une débâcle informe de débris. Les 3 premiers étaient réduis en miettes, les4 autres ne faisaient plus qu’une montagne, un enchevêtrement de toitures défoncées, de roues brisées, de portières, de chaînes, de tampons, au milieu de morceaux de vitre. Et, surtout, j’avais entendu le broiement de la machine contre les pierres, un écrasement sourd terminé en cris d’agonie. Le train, éventré, culbutait à gauche, par-dessus le fardier ; tandis que les pierres, fendues, volaient en éclats, comme sous un coup de mine. La queue du train, 6 wagons encore, intact, s’étaient arrêtés, sans même sortir des rails.
Mais les cris montèrent, des appels dont les mots se perdaient en hurlements inarticulés de bête.
« À moi ! Au secours !…Oh ! Mon Dieu ! Je meurs ! Au secours ! Au secours ! »
On n’entendait plus, on ne voyait plus. L e train renversé sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur, par les robinets arrachés, les tuyaux crevés , en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furieux de géant. Une haleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d’épais tourbillons au ras du sol ; pendant que, du moteur, de l’huile était tombée, noir comme la nuit, ajoutaient leurs fumées encore noires. L’avant, dans la violence du choc, était entré en terre ; à l’endroit où il avait porté, le châssis s’était rompu, faussant les 2 longerons ; et, les roues en l’air semblable à une cavale monstrueuse, décousue par quelque formidable coup de corne, le train montrait ses bielles tordues, ses cylindres cassés, ses tiroirs et leurs excentriques écrasés, toute une affreuse plaie bâillant au plein air, par où l’âme continuait de sortir, avec un fracas d’enragé désespoir. Justement, près d’elle, un zombie qui n’était pas mort, gisait lui aussi lui aussi, les 2 pieds emportés, perdant également ses entrailles par une déchirure à son ventre. À sa tête droite, raidie, dans un spasme d’atroce douleur, on le voyait râler , d’un cri terrible, dont rien , n’arrivait à l’oreille, au milieu du tonnerre de la machine agonisante.
Les cris s’étranglèrent, inentendus, perdus, envolés.
« Sauvez-moi ! Tuez-moi ! … Je souffre trop, tuez-moi ! Tuez-moi donc ! »
Dans ce tumulte assourdissant, cette fumée aveuglante, les portières des voitures restées intactes venaient de s’ouvrir, et une déroute de zombies se ruaient vers l’intérieur et faisaient un carnage, massacrant les voyageurs encore vivant dans une joie malsaine, certain de ces derniers, tombaient sur les voies et se firent démanteler ou dévorer vivant par les zombies, ils se débattaient à coup de poing et de pieds, d’autre s’enfuyaient au galop mais furent vite rattraper par les zombies et tuer.
Soudain une fille courue vers moi, elle n’était pas un zombie je la pris par la main et lui dit : Courrons, courrons vite !

S.t.e.7.7ment
Steven
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