[NdlA: Je voulais le poster pour mon 700ème message, mais emporté dans une frénésie de réponse, je ne me suis rendu compte que trop tard que cela serait le 701ème...tellement hors-fluff que je n'ai pas trouvé de titre...]
Le gros ork regardait d'un air méfiant son partenaire commercial, accoudé à la table de bar.
Grahmbod, Nob du Clan Black Moon, était récemment entré en contact avec un mystérieux étranger, qui avait quelquechose d'intéressant pour lui...
Évidemment, le Nob comptait sur ses "band' de gars" pour faire pencher la transaction en sa faveur...de même que pour les autres transactions, au cours desquels il avait acquis un nombre d'objet inutile inconcevable: une roue de Truk, des balles de "bol'ter" M40, un Long-las MkIII, les clés de contact d'une Fort'ress Noire, un pot de peinture pour Rhino, quatre grot, un Gantelet d'Ultramachin, des essieux de Vyper, une épée Démon, quelques dents de Requins de Belial IV, une Hallebarde de Force Met-les-vis et un Poignard de Face C'tan (sans savoir ce qu'il y avait de derrière). Pas grand chose d'utilisable, somme toute...

L'étranger, légèrement voûté, mesurait environ un mètre soixante, tout au plus. Il était vouté, et semblait bien frêle pour "quelqu'un d'son importansse", pensa Grahmbod.
K'es-ta pour moi, petit homme?, dit-il, après avoir longuement tiré sur son énorme cigare.
L'étranger fouilla quelques instants dans son sac, avant d'en retirer un petit objet et de le poser sur la table.
Huh? Ca s'mange?
Sombre brute, cet artefact sans prix est un cristal de mémoire. Il contient une carte indiquant le lieu de repos de l'Armure de Gork
Dans c'bidule?L'Armure d'Gork?
Tous les Orks avaient entendus parler de l'Armure de Gork, qui conférait des pouvoirs divins à son possesseur: "des yeux ki brillent, des réyons qui partent des doigts, et pis plein d'baston". Révélée sur Farghana plusieurs millénaires auparavant, ses premiers possesseurs avaient été massacrés en tentant de déchiffrer la notice de l'Armure, rédigée en Nord-Coréen.
Et kestu veux en échange?, fit Grahmbod, posant une lourde bourse de dents d'orks, symbole de sa puissance commerciale et musculaire, sur la table.
L'étranger regarda avec dédain la bourse, avant de la balayer d'un revers de la main.
Pas de ces choses, déjà...
Les dents se répandirent par terre avec bruits, et déjà une dizaine d'orks s'étaient rués dessus. Les Gardes du Corps de Grahmbod avaient déjà retroussé les manches de leur smoking pour distribuer des baffes.
Woh eh, il va pas s'la jouer longtemps le ptit d'homme... grogna Grahmbod en faisant claquer sa pince énergétique.
L'étranger releva la capuche qui couvrait son visage, révélant un casque noir cornu. Il enleva entièrement sa cape et révéla le reste de son armure énergétique, se redressant du haut de ses deux mètres quatre-vingt quatre et des brouettes "à vue d'pif".
Woah. Baleze.

La rixe avait attiré quelques Gardes Impériaux en permission, un Ogryn et un Immortel Nécron qui traînait par là. Une certaine agitation régnait déjà dans le bar quand des chopes de bières commencèrent à voler en tout sens.
Un Possédé s'était joint à la bagarre, démembrant ses opposants en quelques coups de tête. Il ne vit pas venir la table de billard que lui lança subtilement l'Ogryn.
Une sirène résonna soudain dans le calme de la nuit, suivi du crissement d'une dizaine de paires de pneus (modèle Ravenwing, disponibles dans toutes les bonnes crèmeries) sur les pavés.
Vingt-deux! V'la les Marines! cria un GI.
L'étranger ramassa prestement son cristal de communication, s'embrouilla avec le serveur pour payer par Carte Bancaire et tira sa révérence en passant par la porte arrière, alors même que de violents coups résonnaient contre la porte de la taverne.
Eh, les boy'z! Tous avec môa! hurla Grahmbod à ses gars.

Faisant claquer la porte arrière au moment même où celle de devant éclatait sous l'impact de la charge de quatre marines en armure énergétique, les orks arrivèrent dans la petite arrière cour faiblement éclairée, où le attendaient un Démon qui s'interposa entre eux et le Marine.
Bye bye, bande de nazes! Doom vous salue bien! lança le Marine en faisant hurler le moteur de sa moto.
Le Sanguinaire fit craquer ses articulations avant de lancer d'une voix grave: Alors, par qui je commence?
Grahmbod s'avança et lui envoya un grand coup de tête...qui lui arriva dans le torse. Malgré tout, les pointes du casque de Grahmbod combiné à l'impact suffirent à envoyer le Démon au sol, KO pour un round!
Allez les gars, on y gô!
Lé plous important, c'est la famille, lui lança le démon, groggy. L'ork leva un sourcil broussailleux, tandis qu'il tentait de se rappeller la référence...

Quatre Gardes du corps montèrent dans leur Trak thuné, les Néons grésillants sous le poids soudain ajouté au véhicule.
Grahmbod monta sur sa propre moto, dont il avait fait modifier quelques détails par un Technaugure, longtemps auparavant.
Il sortit de la cour et tourna à la suite du Marine.
Les roues glissaient sur les pavés humidifiés par la pluie, mais le Marines s'éloignait lentement. Personne n'avait jamais tenu tête à Grahmbod, qu'il soit "un Nork, Doûme ou l'Emp'reur en personne!", ce petit marine allait payer.
Celui-ci dégaina d'une main experte une paire de grenades frag, et les dégoupilla avant de les jeter dans les airs. Le minutage parfait les fit exploser devant les motos accompagnant Grihmbod, et les envoya dans le décor.
Le Buggy thuné fit hurler son moteur, alors que les pilotes appuyaient sur le bouton "Nythro", à côté du bouton "Nypahassez".
Les Gardes du Corps firent cracher leurs mitraillettes, les éclats se réfléchissant sur leurs lunettes noires.
Pilant quasiment sur place pour suivre la moto, le pilote ne se rendit compte qu'au dernier moment que la prochaine rue serait trop étroite pour son buggy.
Touch' pas à çaaaaaaa...
Grihmbod se sentit très seul...

Un projecteur se braqua soudain sur Grihmbod, accompagné du son d'un haut parleur:
Rangez votre véhicule sur le bas-côté. Notre Land Speeder est armé, et nous n'hésiterons pas à ouvrir le feu.
Rageant contre les forces de l'ordre qui lui avaient fait perdre la trace de son client, l'ork se rangea sur le bas côté et sortit sa carte d'identité universelle.

C'est très fun! Un coté intemporel pour le situé à notre époque et dans l'univers impitoyable de 40k. La ville devait être necromunda, l'écriture et plutot bien ficelé, le scénario pas mauvais, bref a quand la suite!



Bien à toi.

mort de rire! c'est pas mal... ça m'a fait repenser à un jeu de rôle auquel je jouait dans le temps ... shadowrun-> des orks, des zoms, des zelfs, des trolls et des nains dans un univers futuriste cyberpunk ou l'illégal et presque mieux vu que le légal.
bonnes petites références et clins d'oeils... mais on aimerai savoir ce qui arrive à l'Ork tout de même (passage à tabac ou course-poursuite?)
on attend avec impatience...

D'habitude, je crache sur les textes humoristiques osant prendre des libertés avec le saint-fluff.

Sauf que là, je dois reconnaître que j'ai beaucoup ri. C'est un petit texte très amusant, qui se prend pas au sérieux, qui prend pas la tête et qui détend beaucoup (et croyez moi, quand on a un dossier d'histoire à passer à l'oral dans deux heures, se détendre, c'est important).

J'aime particulièrement l'étalage des richesses de l'Ork, notamment les clés de contact d'une Forteresse Noire et les essieux de Vyper.
J'aime aussi beaucoup l'histoire des dents d'Orks, "symbole de leur puissance commerciale et musculaire". C'est tellement bien trouvé pour définir l'économie Ork, qu'un jour tu trouveras peut-être un message de moi sur ta boite mail, te demandant si je peux réutiliser l'expression pour l'encyclopédie 40k.

En tout cas merci pour ce texte, je stresse un peu moins pour mon exposé maintenant.

Kaos - J'y peux rien, j'ai la phobie des exposés à l'oral...c'est irrationnel...

Après un passage à tabac dans les règles de l'art, Grahmbod avait laissé les marines dans un coin sombre, pour pas faire tâche.
Il circulait depuis lors dans les bas-quartiers de la ville, en donnat régulièrement des coups de savates à sa radio pour recontacter son gang. Il roulait tout feux éteints pour éviter d'attirer l'attention, ce qui n'empêchait pas une fumée huileuse d'indiquer sa position, mais qui l'avait fait écraser trois gardes en permission et un zoanthrope qui avait roulé dans un caniveau.
Après une longue demi-heure d'errance, il arriva enfin sur un boulevard connu, la "Viya Un peu rialisse"...jamais su ce que ça voulait dire.
Quelques minutes plus tard, il coupait son moteur dans la cour de son ALM (ndla: Antre depuis Longtemps Miteuse) et entra le code.La porte tenait à peine sur ses gonds, mais il prit quand même la peine de l'ouvrir et de la fermer avec soin.
Il regarda l'heure sur la vieille horloge (modèle Croisade, pièce limitée manufacturée avec soin en 339M38, qui avait échoué chez lui par le plus grand des hasards) et observa qu'il était 0.42.
Allumant son téléviseur (modèle Pré-Hérésie) qui trônait dans un coin de la pièce, il zappa rapidement, passant d'une recette de Carnifex aux olives à un film à l'horaire intéressant, qui justement s'intitulait Astartes et petites culottes.
"Lé scénaristes yzont vraiment plu d'idées de titres.", soupira Grahmbod.
Néanmoins, il se résolut à regarder le programme, n'ayant pas vraiment mieux à faire. Il alla à la cuisine se faire réchauffer un plat de raviolis et sortir une bière du frigo, mais s'interrompit en sentant un picotement sur sa jambe.
C'était Bobby.
Haut d'à peine quatre-vingt centimètres, Bobby, son petit Vorace de compagnie qu'il avait dealé à un Prince contre des revues licencieuses, venait de planter ses dents d'une vingtaine de centimètres à travers le cuir épais de sa jambe gauche.
"Bobby! T'oublies c'k'on en a dit sur de quoi tu mordais la jambe?", rappela affectueusement Grahmbod, tendant sa jambe droite, bionique à cause des dernières marques d'affection de Bobby.
"Vààla, tu m'lâche maintenant", ajouta-t-il en lui envoyant une mandale non moins affectueuse.
Il lui ouvrit une boîte de Ronron -vestige du dernier animal de compagnie- et finit de préparer son diner.
Entendant un moteur de Truk (modèle Maximus) pétarader dans la cour, il finit en vitesse, appuya un grand coup sur le bouton du micro-onde et passa la tête par la fenêtre. Sans prendre le temps de l'ouvrir.
"Ouais, koikygna?"
"Eh boss, ya un probl...prolb...un truc zarb à la boutique"
"J'ai pas l'temps d'men occu..."
Il eut juste le temps de retirer sa tête pour voir son micro-onde imploser. Il avait mis sa bière haute-pression à température maximale, et vidé ses raviolis dans un verre.
"Bon, t'attends là, j'descend..."
Éteignant sa télévision au moment où un Inquisiteur entamait une fouille poussée sur une Soeur de bataille, il descendit les marches quatre à quatre après avoir soigneusement ouvert et fermé la porte.
+++
Arrivé à la boutique, il put constater que la vitrine avait été taguée, par le même marine qui l'avait arnaqué la veille.
De dépit et ne pouvant plus se permettre de tuer les quelques associés qui lui restaient, il se rendit au même bar, pour oublier ses soucis dans l'amasec et les jeux d'argent.
Trois Terminators discutaient vivement à l'entrée avec le gérant du magasin, visiblement pour lui faire payer le déplacement de la veille.
Grahmbod, d'une humeur massacrante, sourit enfin, révélant ses chicots et sa dentition imparfaite.
Il s'approcha, l'air de rien, suivi par ses quatre orks en costume noir, et posa inopinément une question dont il connaissait déjà la réponse:
"Ya un prob...prolb...ya un souci?"
Celui qui semblait être le chef parmi les Terminators se tourna vers lui. Il avait l'air bourru, un visage cousu de cicatrice et un coeur tatoué derrière l'oreille gauche:
"Dégage de là, vert de terre...eh les mecs, elle est bonne non' Ver de terre...vert de terre...vert..."
Grahmbod lui avait tendu une perche de la taille d'un "Draid'noutte", et il avait mordu à l'hameçon.
"Ta mère en armure énergétique!", hurla-t-il avant de l'envoyer au sol d'un grand coup de tête!

la seconde partie est encore plus excellente que le première...

j'exige au nom de tous que tu continues sur cette voie et nous livre la suite dans moins de pas longtemps...

astartes et petites culottes, c'est mon livre de chevet...

Un régal! Il y à de l'humour ma bonne dame! C'est vraiment bien foutu, ça se lit comme du petit lait.

Brefle, encore.

Yabon, yabon! c'est encore mieux que la première partie! kesk'il est ork cet ork!? Par contre fait gaffe avec les écrasages de zoantrope parce que je vais aller cafter à la SPA (Spacemarines délivrant les Permis de tuer des Animaux xenos...).

je plussoie les Zotr, il faudrait que tu continues sur sa lancée la saga de Grahmbod. On veut des bars, des bastons, de la bierre de squig et des "truks" d'orks! nom d'un Gorka!

en trois mot : Mort de Rire. ^^

franchement, une bonne crise de larmes ^^. surtout le second texte. j'adore le "il passa la tête par la fenêtre... sans prendre la peine de l'ouvrir."

les anachronismes sont assez poilant.

mention spéciale au "nombre d'objet inutile inconcevable".

Arf, poilant !
Le mélange de tout ce qui existe dans w40k est tellement drôle que j'en plere.
D'ici à ce que on retrouve sigmar avec sa canne je m'attends à tout !

Encore bravo !

NDLA: Certes, c'est du déterrage, mais pour mes nouveaux lecteurs, il faut bien se remettre dans le contexte...


Le frère Marcel Johnson tourna la poignée du bureau du commissaire, soupira en remarquant qu’il avait encore oublié de retirer son gantelet énergétique et qu’il avait de fait écrasé une nouvelle fois la poignée, et entreprit de découper la porte avec le poing tronçonneur de son autre main.

« Entrez », lui fit le frère-commissaire Michel Johnson en ouvrant, attiré par le bruit et la lame de tronçonneuse qui venaient de traverser sa porte « qu’est-ce que je vous sers ? »
« Pas la main, vu l’état dans lequel ça a laissé la poignée… »
« Je vois… » fit le commissaire en levant un sourcil et en se rasseyant « chouette déco, le renfoncement en forme de crâne d’ork dans votre casque, c’est nouveau ? »

« Un léger incident avec un boss qui a provoqué une bagarre, fuit dans les rues de la ville, tabassé une escouade complète de marines et risque de trouver un bidule lumineux qui lui permettrait de conquérir le sous-secteur…rien de bien méchant, pas de quoi en faire une histoire » répondit le Terminator en faisant les gros yeux au scénariste.
« Hmm. Mais cette histoire de conquête de sous-secteur m’embête quand même. Qui plus est, avec les élections bientôt, on peut pas se permettre de laisser du grabuge dans les bars. On va s’occuper de son cas, à ce p’tit mariole… » conclut le commissaire en essayant de boire un café à travers les respirateurs de son casque.
+++
Inconscient de la menace sombre et obscure qui pesait sur lui, Grahmbod s’en était retourné au club pour Gentleorks que possédait son gang, histoire de « s’faire un biyard et une bonne binouze », comme le voulait la tradition après une bonne baston.

Dès l’entrée, cependant, un de ses hommes de main le pris à part pour lui faire part de soupçons.
« Boss, j’crois qu’vous êtes comme qui s’y dirait inconscient d’la menace sombre et obscure qui pèse sur vous, là… » dit-il, reprenant avec difficulté la phrase toute faite trois lignes plus haut.
« Kwa ? Ca, là ? » répondit Grahmbod en désignant le servo-crâne aux couleurs des Dark Angels qui le suivait depuis maintenant deux heures en émettant de petits bruits de flatulence « j’sais pas trop, c’est ptêt pour passer chez Kasladi…Kastladi…Kestalti…t’sais, c’truc là, “le Hulk des Secrets“. Bon, quoiqu’c’est les news ? »

« Les cam’ras du vestiaire ont repéré le drôle de zom’ qui nous a comme qui dirait filé entre les griffes énergétiques…il portait une armure toute roz’ avec des drôles de ch’tites étoiles zarb’ dessus »
« Encore un marine du Chaos ? Attends un peu… »

…chaos, chaos…KO…boxe ?
…et qui dit boxe et dit boxeur…
…et qui dit boxeur dit culotte…
…et qui dit culotte dit…SLAANESH !
« Euh…Slaanesh, boss ? » répondit l’ork, un air intrigué envahissant son visage envahi de cicatrices et de petits boutons d’acnée
« Wais, l’Slaanesh, c’te bar du IXè district, où qu’tous les jeunes y vont, parait qu’c’est assez chaud l’soir. Ya ptêt moyen de r’trouver notre bonhomme là-bas ».
+++
Ayant fait la queue pendant une demi-heure à cause de l’épineux problème de l’interdiction d’armes, Grahmbod avait laissé son arsenal à l’entrée, embarquant subrepticement sa méga-armure et le Derringer de son grand-père, au cas où.

Fatigué de l’attente, il se dirigea directement vers les toilettes au son d’un DJ local, « I am prometheum », suivi à son insu par une jeune fille dont les boucles blondes laissaient entrevoir deux longues cornes noires et un respirateur modèle pré-hérésie peint aux couleurs des Emperor’s Children…
Poussant la porte, il déboucha sur une scène insolite digne des plus grands moments du cinéma : quatre Carnifex encerclant lentement un marine acculé, à l’entrejambe duquel se formait une tâche sombre à travers la céramite de sa braguette. L’air désespéré à travers son casque, le visage du marine s’illumina -toujours dans son casque- à l’entrée de l’imposant boss.

« Ah, sacré Will, on dirait qu’j’arrive à temps pour te sortir d’un sacré pétrin encore une fois ! » lança joyeusement Grahmbod en reconnaissant son sacré ami Will à travers son casque.
« Pour sûr, mon vieux ! » fanfaronna ledit Will, lançant un clin d’œil à travers sa lentille énergétique.
« On dirait qu’c’est l’heure de BOTTER DES CULS CHITINEUX ! »

Je viens de lire les trois textes d'un coup.
C'est bien écrit, amusant et l'histoire est intéressante.
Bref je suis pressé de voir ce que la suite nous réserve.